Ne manquez pas !
LIBAN. Aucune solution à la crise des ordures ménagères ne se pointant à l'horizon, le gouvernement libanais a décidé, lundi 21 décembre 2015 au soir, de transférer ses déchets à l'étranger.
Depuis fin juillet 2015, le non-renouvellement du contrat du concessionnaire privé (Sukleen) chargé de la collecte des déchets arrivé à échéance, doublé de la fermeture de la principale déchetterie du pays à Naameh, s'étaient traduit par un amoncellement des ordures dans les rues de Beyrouth notamment. Avant que les autorités décident de les emporter dans des zones plus éloignées et des dépôts improvisés ne réglant qu'en partie le problème de santé publique. Mais ces dépôts se trouvent désormais débordés et il fallait bien trouver une alternative.
L'exportation des déchets, prévue pour durer dix-huit mois et pour un coût évalué à 125 $ la tonne, reste "temporaire et transitoire" selon Tammam Salam. Le Premier ministre libanais n'a pas précisé leur destination.
Depuis fin juillet 2015, le non-renouvellement du contrat du concessionnaire privé (Sukleen) chargé de la collecte des déchets arrivé à échéance, doublé de la fermeture de la principale déchetterie du pays à Naameh, s'étaient traduit par un amoncellement des ordures dans les rues de Beyrouth notamment. Avant que les autorités décident de les emporter dans des zones plus éloignées et des dépôts improvisés ne réglant qu'en partie le problème de santé publique. Mais ces dépôts se trouvent désormais débordés et il fallait bien trouver une alternative.
L'exportation des déchets, prévue pour durer dix-huit mois et pour un coût évalué à 125 $ la tonne, reste "temporaire et transitoire" selon Tammam Salam. Le Premier ministre libanais n'a pas précisé leur destination.