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Il faudra du temps pour évacuer des centaines de milliers de tonnes de déchets. Photo You Stink
LIBAN. Le problème n'est pas résolu, mais il deviendra moins visible. Les montagnes et les rivières de déchets qui gangrenaient peu à peu Beyrouth et ses environs sont en passe de disparaître. Depuis dimanche 20 mars, un incessant ballet de camions les transporte vers la décharge de Naamé, fermée cet été, et donc rouverte aujourd'hui.
Au moins deux nouvelles décharges doivent être créées au nord et au sud de Beyrouth. Une solution théoriquement transitoire qui durera... quatre ans, le temps de construire des usines d'incinération. Tri et recyclage ne figurent pas dans ce plan dénoncé par les écologistes.
Il aura fallu plus de huit mois, des manifestations, des films largement diffusés sur Internet, pour que le gouvernement libanais réagisse. Un peu tard car les cours d'eau sont déjà largement pollués par des quantités importantes de métaux lourds et de matières fécales.
Au moins deux nouvelles décharges doivent être créées au nord et au sud de Beyrouth. Une solution théoriquement transitoire qui durera... quatre ans, le temps de construire des usines d'incinération. Tri et recyclage ne figurent pas dans ce plan dénoncé par les écologistes.
Il aura fallu plus de huit mois, des manifestations, des films largement diffusés sur Internet, pour que le gouvernement libanais réagisse. Un peu tard car les cours d'eau sont déjà largement pollués par des quantités importantes de métaux lourds et de matières fécales.