
Le Liban tente de trouver une solution pour les réfugiés qui représentent 1/3 de sa population. Photo X. Ferqin
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LIBAN. Les leaders politiques libanais multiplient les déclarations depuis quelques jours pour tenter de régler la question des réfugiés syriens et palestiniens. Dans un discours prononcé dimanche 12 février 2017, le secrétaire général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah, a demandé aux autorités libanaises d'ouvrir des discussions avec le gouvernement syrien de Bachar al Assad pour permettre le retour des Syriens sur leur sol.
Allié de Damas, le Hezbollah considère que certaines régions sont aujourd'hui « pacifiées » et peuvent de nouveau accueillir les habitants qui ont fui. Le mouvement chiite se déclare prêt à aider les autorité libanaises et annonce avoir déjà commencé des pourparlers avec la Syrie pour engager le retour des populations de la région du Qalamoun.
Début février, le Président libanais, Michel Aoun, demandait que des zones réservées aux réfugiés soient établies en Syrie. "Mais le Liban n'a pas l'intention d'obliger les réfugiés à retourner (dans leur pays) si la situation sécuritaire est instable" précisait Michel Aoun. La Turquie travaillerait déjà à la création de zones « sécurisées » dans le nord du pays dévasté.
Le Premier ministre libanais, Saad Hariri, souhaite ouvrir la question de retour à l'ensemble des réfugiés vivant au Liban. Il explique que " le droit au retour doit s'appliquer car le Liban, dont le fardeau a augmenté en raison de la présence d'un million et demi de réfugiés syriens, ne peut plus supporter autant de réfugiés palestiniens".
Allié de Damas, le Hezbollah considère que certaines régions sont aujourd'hui « pacifiées » et peuvent de nouveau accueillir les habitants qui ont fui. Le mouvement chiite se déclare prêt à aider les autorité libanaises et annonce avoir déjà commencé des pourparlers avec la Syrie pour engager le retour des populations de la région du Qalamoun.
Début février, le Président libanais, Michel Aoun, demandait que des zones réservées aux réfugiés soient établies en Syrie. "Mais le Liban n'a pas l'intention d'obliger les réfugiés à retourner (dans leur pays) si la situation sécuritaire est instable" précisait Michel Aoun. La Turquie travaillerait déjà à la création de zones « sécurisées » dans le nord du pays dévasté.
Le Premier ministre libanais, Saad Hariri, souhaite ouvrir la question de retour à l'ensemble des réfugiés vivant au Liban. Il explique que " le droit au retour doit s'appliquer car le Liban, dont le fardeau a augmenté en raison de la présence d'un million et demi de réfugiés syriens, ne peut plus supporter autant de réfugiés palestiniens".