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LIBAN. La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) approuve, mardi 15 décembre 2015, l’adhésion du Liban. Le pays devient donc un actionnaire de la banque au côté de soixante-quatre pays tels que l’Allemagne, la France, mais aussi Chypre ou Israël.
L’Union européenne et la BEI (banque européenne d’investissement) font aussi partie de ses actionnaires. Ces institutions réalisent notamment des investissements en Égypte, en Jordanie, au Maroc et en Turquie.
Le Liban deviendra un bénéficiaire de la BERD, mais « à un stade ultérieur » selon le communiqué de presse. « La Berd financera principalement de nouvelles infrastructures afin d'aider le pays à surmonter l'impact de l'afflux de réfugiés syriens et apportera également un soutien au secteur privé, plus particulièrement aux PME » déclare Alexis Loeber, directeur du service de coopération au sein de la Délégation de l'Union européenne au Liban.
La demande du ministère des finances du Liban date du mois de juillet 2015. Le pays justifiait alors sa requête : « le soutien de la Berd permettra de contribuer à la croissance de l'économie en soutenant des secteurs-clefs ainsi que de mettre en place des réformes. »
La BERD a investi ces dernières années plus de 3 mrds€ dans quatre-vingt-trois projets autour de la Méditerranée. Ces investissements concernent autant le domaine de la gestion des ressources naturelles, que l’agro-business, l’industrie, les transports publics ou la gestion de l’eau.
L’Union européenne et la BEI (banque européenne d’investissement) font aussi partie de ses actionnaires. Ces institutions réalisent notamment des investissements en Égypte, en Jordanie, au Maroc et en Turquie.
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