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SYRIE. Dans une déclaration publiée mardi 17 avril 2018, les dirigeants du G7* indiquent être "unis à condamner avec la plus grande fermeté l'utilisation d'armes chimiques lors de l'attaque perpétrée le 7 avril dans la Ghouta orientale, en Syrie".
Le texte précise qu'ils appuient "pleinement tous les efforts déployés par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France en vue de diminuer la capacité du régime Assad d'utiliser des armes chimiques ainsi que d'en prévenir tout usage à l'avenir, tel que démontré par leur intervention menée le 13 avril ". Les dirigeants du G7 qualifient ce raid contre des installations du régime syrien abritant des armes chimiques de "réponse limitée, proportionnée et nécessaire. Elle a été entreprise suite à l'épuisement de toute avenue diplomatique possible pour faire respecter la norme internationale contre l'utilisation d'armes chimiques".
"Ensemble, nous nous dressons contre l'impunité de ceux qui fabriquent ou utilisent ce type d'armes, quel que soit le lieu, le moment ou les circonstances", poursuit la déclaration qui se conclut sur la détermination à "trouver une solution diplomatique au conflit en Syrie. Nous saluons et appuyons les efforts de M. Mistura, l'envoyé spécial des Nations Unies, en vue d'assurer une transition politique inclusive et crédible conformément à la résolution 2254 du Conseil de sécurité des Nations unies et au Communiqué de Genève".
Les dirigeants du G7 tiendront leur réunion annuelle les 8 et 9 juin 2018 à Charlevoix au Canada. La France en prendra la présidence annuelle en 2019.
* Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon, Royaume-Uni et Union européenne. La Russie est suspendue de ce groupe depuis 2014.
Lire aussi : L'enquête sur l'utilisation d'armes chimiques par la Syrie à Douma pourra débuter mercredi 18 avril 2018
Le texte précise qu'ils appuient "pleinement tous les efforts déployés par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France en vue de diminuer la capacité du régime Assad d'utiliser des armes chimiques ainsi que d'en prévenir tout usage à l'avenir, tel que démontré par leur intervention menée le 13 avril ". Les dirigeants du G7 qualifient ce raid contre des installations du régime syrien abritant des armes chimiques de "réponse limitée, proportionnée et nécessaire. Elle a été entreprise suite à l'épuisement de toute avenue diplomatique possible pour faire respecter la norme internationale contre l'utilisation d'armes chimiques".
"Ensemble, nous nous dressons contre l'impunité de ceux qui fabriquent ou utilisent ce type d'armes, quel que soit le lieu, le moment ou les circonstances", poursuit la déclaration qui se conclut sur la détermination à "trouver une solution diplomatique au conflit en Syrie. Nous saluons et appuyons les efforts de M. Mistura, l'envoyé spécial des Nations Unies, en vue d'assurer une transition politique inclusive et crédible conformément à la résolution 2254 du Conseil de sécurité des Nations unies et au Communiqué de Genève".
Les dirigeants du G7 tiendront leur réunion annuelle les 8 et 9 juin 2018 à Charlevoix au Canada. La France en prendra la présidence annuelle en 2019.
* Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon, Royaume-Uni et Union européenne. La Russie est suspendue de ce groupe depuis 2014.
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