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SYRIE. Réunis lundi 10 et mardi 11 avril 2017 en Toscane, les ministres des Affaires étrangères du G7 sont au moins d'accord sur un point : "il n'existe pas d'avenir possible de la Syrie avec Bachar al-Assad".
États-Unis, Canada, Japon, Allemagne, Grande-Bretagne, France et Italie parlent désormais d'une même voix sur le sujet. Il leur reste encore à convaincre la Russie, fidèle alliée du président syrien. Rex Tillerson, secrétaire d'Etat américain, va s'y employer en se rendant à Moscou fort de l'unanimité des pays du G7. Il va plaider une résolution pacifique du conflit, avec le soutien de la Russie.
Invités lors de ce G7, la Turquie, les Emirats arabes unis, l'Arabie saoudite, la Jordanie et le Qatar
"Il faut sortir de l'hypocrisie et rentrer très clairement dans le processus politique", souligne Jean-Marc Ayrault, ministre français des Affaires étrangères.
En revanche, le G7 n'a débouché sur aucun consensus concernant de nouvelles sanctions contre le régime syrien et la Russie qui l'aide sur le terrain.
États-Unis, Canada, Japon, Allemagne, Grande-Bretagne, France et Italie parlent désormais d'une même voix sur le sujet. Il leur reste encore à convaincre la Russie, fidèle alliée du président syrien. Rex Tillerson, secrétaire d'Etat américain, va s'y employer en se rendant à Moscou fort de l'unanimité des pays du G7. Il va plaider une résolution pacifique du conflit, avec le soutien de la Russie.
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"Il faut sortir de l'hypocrisie et rentrer très clairement dans le processus politique", souligne Jean-Marc Ayrault, ministre français des Affaires étrangères.
En revanche, le G7 n'a débouché sur aucun consensus concernant de nouvelles sanctions contre le régime syrien et la Russie qui l'aide sur le terrain.