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L'action de la FESF est conditionnée à l'avis unanime des pays participants et de la BCE. Mario Draghi, président de la BCE. Copyright : http://www.ecb.europa.eu/press/pictures/html/index.en.html
EUROPE. Le Fonds européen de stabilité financière (FESF) se raffermit, sa capacité d'intervention est portée à 440 mrds€ et ses pouvoirs sont élargis. En effet, La Slovaquie a donné son feu vert, jeudi 13 octobre 2011, sur le renforcement du FESF permettant à la zone euro d'accroître son efficacité sur la gestion des crises économiques.
La Slovaquie était le dernier des dix-sept pays membres de la zone euro à se prononcer. Après l'échec d'un premier vote, mardi 11 octobre 2011, l'opposition sociale-démocrate s'est entendue jeudi 13 octobre 2011, pour approuver, en échange d'élections anticipées, le renforcement du FESF.
Le FESF, fonds commun de créances approuvé par les 27 états membres de l'Union européenne le 9 mai 2010, a pour mission de préserver la stabilité financière en Europe en aidant financièrement les États de la zone euro subissant des difficultés économiques.
Les présidents de l'Union européenne, Herman van Rompuy, et de la Commission européenne, José Manuel Barroso, applaudissent le feu vert donné par la Slovaquie qui rendrait le fonds "pleinement opérationnel" et doterait l'UE d'un "instrument plus fort et plus souple pour défendre la stabilité financière de la zone euro".
Jean Leonetti, ministre français chargé des Affaires européennes, saluait également "l'adoption définitive" des mesures de renforcement du FESF. "En dotant le FESF de pouvoirs élargis lui permettant d'agir de manière préventive, d'intervenir sur les marchés secondaires ou encore de contribuer à la recapitalisation des établissements bancaires, les pays de la zone euro se donnent pleinement, conformément à leur engagement, les moyens de continuer à profiter de l'atout que représente l'euro pour la puissance et la compétitivité de l'économie européenne" soulignait-il.
Le président du FESF, Klaus Regling, réagissait également : "Le FESF et son conseil d'administration vont finaliser rapidement toutes les procédures nécessaires pour permettre l'utilisation de ce nouvel instrument dans un avenir proche".
La Slovaquie était le dernier des dix-sept pays membres de la zone euro à se prononcer. Après l'échec d'un premier vote, mardi 11 octobre 2011, l'opposition sociale-démocrate s'est entendue jeudi 13 octobre 2011, pour approuver, en échange d'élections anticipées, le renforcement du FESF.
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Les présidents de l'Union européenne, Herman van Rompuy, et de la Commission européenne, José Manuel Barroso, applaudissent le feu vert donné par la Slovaquie qui rendrait le fonds "pleinement opérationnel" et doterait l'UE d'un "instrument plus fort et plus souple pour défendre la stabilité financière de la zone euro".
Jean Leonetti, ministre français chargé des Affaires européennes, saluait également "l'adoption définitive" des mesures de renforcement du FESF. "En dotant le FESF de pouvoirs élargis lui permettant d'agir de manière préventive, d'intervenir sur les marchés secondaires ou encore de contribuer à la recapitalisation des établissements bancaires, les pays de la zone euro se donnent pleinement, conformément à leur engagement, les moyens de continuer à profiter de l'atout que représente l'euro pour la puissance et la compétitivité de l'économie européenne" soulignait-il.
Le président du FESF, Klaus Regling, réagissait également : "Le FESF et son conseil d'administration vont finaliser rapidement toutes les procédures nécessaires pour permettre l'utilisation de ce nouvel instrument dans un avenir proche".