Industries
Partager
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Le FMI critique la lenteur dans la mise en œuvre des réformes au Liban
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
Quatre filières, dont l'olive, entrent dans ce programme (photo Fida)
MAROC. Le Fonds international de développement agricole (Fida) vient d'accorder mardi 15 mars 2011 un financement de 23 M$ (16,45 M€) pour "contribuer à atténuer la pauvreté rurale et à stimuler l'économie locale dans les zones montagneuses de la province de Taza au Maroc."
Ce prêt de 23 M$ (dont 500 000 $ - 358 000 € - sous forme de don) viendra aider au financement d'un programme spécifique pour cette région montagneuse d'un montant global de 39,2 M$ (28 M€) et destiné aux 48 000 ruraux pauvres qui l'habite.
Ce prêt de 23 M$ (dont 500 000 $ - 358 000 € - sous forme de don) viendra aider au financement d'un programme spécifique pour cette région montagneuse d'un montant global de 39,2 M$ (28 M€) et destiné aux 48 000 ruraux pauvres qui l'habite.
Il s'agit principalement de petits agriculteurs, d'exploitants sans terre, de femmes rurales et de jeunes sans emploi.
Dans un communiqué publié par le Fida, organisme des Nations Unies dont le siège se trouve à Rome, Mounif Nourallah, chargé du programme Fida pour le Maroc précise que "ce programme permettra la diversification et la croissance de manière durable des revenus des femmes, des hommes et des jeunes ruraux pauvres par la promotion de filières agricoles plus adaptées et plus rentables.”
“Le programme permettra aussi d’augmenter la valeur ajoutée au niveau des exploitations agricoles grâce à la transformation et au conditionnement des produits ainsi qu'à l’accès direct à des marchés rémunérateurs”, poursuit Mounif Nourallah qui visera aussi " la mise à niveau des infrastructures socio-économiques essentielles afin de lever les obstacles au développement des filières.”
“Le programme permettra aussi d’augmenter la valeur ajoutée au niveau des exploitations agricoles grâce à la transformation et au conditionnement des produits ainsi qu'à l’accès direct à des marchés rémunérateurs”, poursuit Mounif Nourallah qui visera aussi " la mise à niveau des infrastructures socio-économiques essentielles afin de lever les obstacles au développement des filières.”
Quatre filières sont concernées par ce programme : olive, amande, miel et viande rouge. Lequel prévoit un accroissement de 20% de la filière viande rouge et de 200% de la filière miel.
