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95% des entreprises espagnoles ont moins de 10 salariés (photo Francis Matéo)
ESPAGNE. Le FMI demande davantage d'efforts sur les procédures de redressement judiciaire en Espagne. Malgré la réforme déjà adoptée par le gouvernement de Mariano Rajoy, l'organisme international exige un assouplissement des règles en faveur des PME et TPE.
Les sociétés de moins de dix salariés, qui représentent 95% des entreprises espagnoles, demeurent en effet les plus exposées en cas de dépôt de bilan, d’autant que les dirigeants restent redevables sur leurs biens personnels.
Le FMI propose donc d'élargir à ces TPE et auto-entrepreneurs les règles d’insolvabilité sur le modèle des législations allemandes ou britanniques.
Autre préconisation : permettre aux créanciers de s'impliquer davantage dans les plans de restructuration des PME en difficulté, en transformant les dettes en participations, selon le modèle pratiqué aux États-Unis.
Les sociétés de moins de dix salariés, qui représentent 95% des entreprises espagnoles, demeurent en effet les plus exposées en cas de dépôt de bilan, d’autant que les dirigeants restent redevables sur leurs biens personnels.
Le FMI propose donc d'élargir à ces TPE et auto-entrepreneurs les règles d’insolvabilité sur le modèle des législations allemandes ou britanniques.
Autre préconisation : permettre aux créanciers de s'impliquer davantage dans les plans de restructuration des PME en difficulté, en transformant les dettes en participations, selon le modèle pratiqué aux États-Unis.