Ne manquez pas !
-
La gestion des ressources en eau souterraine : six situations du bassin méditerranéen analysées sous l'angle de l’économie néo-institutionnelle et de la théorie des contrats
-
Rapport Technique : Vers une Méditerranée plus propre : une décennie de progrès
-
Rapport de synthèse : Vers une Méditerranée plus propre, une décennie de progrès
-
Samir Abdelkrim : "Le digital a rendu Emerging Valley encore plus connecté, plus dense et plus essentiel pour les écosystèmes d'innovation Afrique-Europe"
EUROPE. Dans sa dernière publication, mardi 10 octobre 2017, le Fonds monétaire international (FMI) confirme une reprise de l'économie mondiale, et constate même "une accélération de la croissance en Europe, au Japon, en Chine et aux États-Unis". "La reprise cyclique de l'économie mondiale qui a commencé au milieu de 2016 continue à s'affermir. Il y a un an et demi seulement, la croissance était en panne et des turbulences secouaient les marchés financiers. Aujourd’hui, le tableau est bien différent.... Les conditions financières restent favorables dans le monde entier, et les marchés financiers semblent s’attendre à peu de turbulences à terme", précise la note de l'institution. Tout en appelant à une grande prudence.
Selon le FMI, "ces évolutions positives donnent de bonnes raisons de se montrer plus confiant, mais ni les dirigeants, ni les marchés ne doivent se bercer d’illusions. Un examen plus approfondi indique que la reprise mondiale n’est peut-être pas durable : elle ne concerne pas tous les pays".
Reste que dans ses prévisions semestrielles pour la zone euro, le FMI revoit à la hausse ses perspectives de croissance pour les deux ans à venir. Il prévoit une progression de 2,1% en 2017, soit +0,2 points par rapport à la précédente prévision en juillet 2017, et de 1,9% en 2018 (+0,2 points). Une rectification justifiée par "une accélération des exportations dans le contexte plus large d'une reprise du commerce mondial", "une demande intérieure solide, soutenue par des conditions financières accommodantes" ainsi qu'une "diminution du risque politique".
La révision à la hausse des taux de croissance touche la France (1,6% en 2017 et 1,8% en 2018), l'Italie (1,5% en 2017 et 1,1% en 2018) ainsi que l'Espagne (3,1% e, 2017 et 2,5% en 2018) pour ne citer que les trois principaux pays méditerranéens de la zone euro.
Selon le FMI, "ces évolutions positives donnent de bonnes raisons de se montrer plus confiant, mais ni les dirigeants, ni les marchés ne doivent se bercer d’illusions. Un examen plus approfondi indique que la reprise mondiale n’est peut-être pas durable : elle ne concerne pas tous les pays".
Reste que dans ses prévisions semestrielles pour la zone euro, le FMI revoit à la hausse ses perspectives de croissance pour les deux ans à venir. Il prévoit une progression de 2,1% en 2017, soit +0,2 points par rapport à la précédente prévision en juillet 2017, et de 1,9% en 2018 (+0,2 points). Une rectification justifiée par "une accélération des exportations dans le contexte plus large d'une reprise du commerce mondial", "une demande intérieure solide, soutenue par des conditions financières accommodantes" ainsi qu'une "diminution du risque politique".
La révision à la hausse des taux de croissance touche la France (1,6% en 2017 et 1,8% en 2018), l'Italie (1,5% en 2017 et 1,1% en 2018) ainsi que l'Espagne (3,1% e, 2017 et 2,5% en 2018) pour ne citer que les trois principaux pays méditerranéens de la zone euro.