
Le FMI annonce une croissance plus faible que prévue dans la zone Menap. (Photo wikimedia)
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MENAP. Le Fonds Monétaire International (FMI) annonce, vendredi 23 octobre 2015, des prévisions de croissance à la baisse pour la région Menap (Afrique du Nord, Moyen-Orient, Afghanistan et Pakistan) en 2015 et 2016.
L’institution table sur une croissance de 2,5% en 2015 et de 4% en 2016 pour cette région. A cause de nombreux conflits, cette zone demeure instable, mais le FMI envisage une croissance de 3,9% en Algérie, de 3% en Tunisie et de 4,3% en Egypte. Des chiffres proches d'une perspective (2016) à l’autre (2015).
Par contre, le Maroc se démarque de ses voisins avec une croissance plus faible que celle annoncée par le FMI en avril 2015. Ce chiffre passe de 5% de croissance à 3,7% pour l’année 2016. Une donnée toutefois supérieure à celle prévue par le gouvernement marocain (3%).
Le Maroc reste l’un des bons élèves de la zone Menap. Pour l’année 2015, le FMI prévoit une croissance de 4,9%, un chiffre très proche de celui de l’agence Standard&Poor’s qui table sur 4,6%.
Le FMI veut pousser le Maroc à prendre de nouvelles réformes. Pour souligner ce besoin, l’institution se base sur d’autres données positives. Le solde de la balance courante devrait passer à -1,6% en 2016, il se situait à -7,9% en 2013. Le FMI prévoit une baisse du déficit budgétaire (de 4,3% en 2015 à 3,5% en 2016).
L’institution table sur une croissance de 2,5% en 2015 et de 4% en 2016 pour cette région. A cause de nombreux conflits, cette zone demeure instable, mais le FMI envisage une croissance de 3,9% en Algérie, de 3% en Tunisie et de 4,3% en Egypte. Des chiffres proches d'une perspective (2016) à l’autre (2015).
Par contre, le Maroc se démarque de ses voisins avec une croissance plus faible que celle annoncée par le FMI en avril 2015. Ce chiffre passe de 5% de croissance à 3,7% pour l’année 2016. Une donnée toutefois supérieure à celle prévue par le gouvernement marocain (3%).
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Le FMI veut pousser le Maroc à prendre de nouvelles réformes. Pour souligner ce besoin, l’institution se base sur d’autres données positives. Le solde de la balance courante devrait passer à -1,6% en 2016, il se situait à -7,9% en 2013. Le FMI prévoit une baisse du déficit budgétaire (de 4,3% en 2015 à 3,5% en 2016).