
Une croissance "modérée", un chômage "élevé", le FMI reste prudent quant à la situation économique de la Tunisie (photo F. Dubessy)
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TUNISIE. Le Fonds Monétaire International approuve le décaissement de 225 M$ (162,5 M€) en faveur de la Tunisie.
Cette annonce intervient après l'achèvement de la troisième revue des résultats économiques réalisés par la Tunisie dans le cadre d'un programme d'aide de vingt-quatre mois. Depuis sa mise en place en juin 2013, le FMI aura déjà déboursé près de 888,4 M$ (soit environ 641,4 M€) pour le pays. La ligne totale du crédit prévu par le programme (1,78 mrd$, soit environ 1,28 mrd€) dépend des "résultats économiques" obtenus par le pays, rappelle le FMI.
Min Zhu, directeur général adjoint et président par intérim du FMI, prend note des "progrès" des autorités dans la mise en place du programme économique, soutenu par le fonds. Cependant, "les réformes structurelles ont été ralenties par la crise politique prolongée de l’an dernier", tempère-t-il, ajoutant que "la croissance est modérée, le chômage reste élevé, et les déséquilibres budgétaire et extérieur sont élevés". Le FMI appelle à la mise en place de nouvelles mesures budgétaires, afin de réduire la "masse salariale" et les "subventions énergétiques régressives".
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Cette annonce intervient après l'achèvement de la troisième revue des résultats économiques réalisés par la Tunisie dans le cadre d'un programme d'aide de vingt-quatre mois. Depuis sa mise en place en juin 2013, le FMI aura déjà déboursé près de 888,4 M$ (soit environ 641,4 M€) pour le pays. La ligne totale du crédit prévu par le programme (1,78 mrd$, soit environ 1,28 mrd€) dépend des "résultats économiques" obtenus par le pays, rappelle le FMI.
Min Zhu, directeur général adjoint et président par intérim du FMI, prend note des "progrès" des autorités dans la mise en place du programme économique, soutenu par le fonds. Cependant, "les réformes structurelles ont été ralenties par la crise politique prolongée de l’an dernier", tempère-t-il, ajoutant que "la croissance est modérée, le chômage reste élevé, et les déséquilibres budgétaire et extérieur sont élevés". Le FMI appelle à la mise en place de nouvelles mesures budgétaires, afin de réduire la "masse salariale" et les "subventions énergétiques régressives".
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