
Les banques françaises ne soutiendront plus le charbon (photo DR)
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MONDE. Alors que débutera le 7 novembre 2016 à Marrakech la COP22 (Conférence des Parties sur le climat), deux banques françaises s'engagent à ne plus investir dans le charbon.
Le Crédit Agricole (C.A.) indiquait, mercredi 26 octobre 2016 dans un communiqué, de "ne plus financer de nouvelles centrales ou extension de centrales électriques au charbon". En mai et septembre 2015, l'institution avait déjà renoncé à financer les mines de charbon ou les exploitants spécialisés dans cette activités et les nouvelles centrales électriques au charbon dans les pays à hauts revenus.
Lors de la COP21 à Paris, le C.A. avait prévu de structurer 60 mrds€ de nouveaux financements climat d'ici fin 2018 et en a déjà réalisé 22,5 mrds€ à ce jour.
La Société Générale (S.G.), jeudi 27 octobre 2016 par la même voie, déclarait "l'arrêt de l'ensemble de nouveaux financements de projets de centrales thermiques au charbon ou des infrastructures associées, partout dans le monde". La décision prendra effet au 1er janvier 2017. Déjà, voici un an, la banque française cessait de soutenir ce genre de projets mais seulement dans les pays de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) à revenus élevés.
Parallèlement la S.G. va réduire ses encours de crédit à l'industrie du charbon. L'objectif reste de "ramener la part du charbon dans la production d'électricité financée par la banque à 19% à fin 2020", en droite ligne avec le scénario de limitation à 2° Celsius le réchauffement climatique de la planète dévoilé par l'Agence internationale de l'Énergie (AIE).
La banque qui est intervenue sur 100% des projets européens d'éoliennes en mer, va également doubler ses financement sur les projets dans le secteur des énergies renouvelables pour atteindre les 10 mrds€.
Ces deux banques emboîte le pas à Natixis qui avait, mi-octobre 2015 à quelques semaines de la COP21, renoncé "à financer des centrales électriques au charbon et des mise de charbon thermique dans le monde entier".
Lire notre dossier spécial sur la COP21
Le Crédit Agricole (C.A.) indiquait, mercredi 26 octobre 2016 dans un communiqué, de "ne plus financer de nouvelles centrales ou extension de centrales électriques au charbon". En mai et septembre 2015, l'institution avait déjà renoncé à financer les mines de charbon ou les exploitants spécialisés dans cette activités et les nouvelles centrales électriques au charbon dans les pays à hauts revenus.
Lors de la COP21 à Paris, le C.A. avait prévu de structurer 60 mrds€ de nouveaux financements climat d'ici fin 2018 et en a déjà réalisé 22,5 mrds€ à ce jour.
La Société Générale (S.G.), jeudi 27 octobre 2016 par la même voie, déclarait "l'arrêt de l'ensemble de nouveaux financements de projets de centrales thermiques au charbon ou des infrastructures associées, partout dans le monde". La décision prendra effet au 1er janvier 2017. Déjà, voici un an, la banque française cessait de soutenir ce genre de projets mais seulement dans les pays de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) à revenus élevés.
Parallèlement la S.G. va réduire ses encours de crédit à l'industrie du charbon. L'objectif reste de "ramener la part du charbon dans la production d'électricité financée par la banque à 19% à fin 2020", en droite ligne avec le scénario de limitation à 2° Celsius le réchauffement climatique de la planète dévoilé par l'Agence internationale de l'Énergie (AIE).
La banque qui est intervenue sur 100% des projets européens d'éoliennes en mer, va également doubler ses financement sur les projets dans le secteur des énergies renouvelables pour atteindre les 10 mrds€.
Ces deux banques emboîte le pas à Natixis qui avait, mi-octobre 2015 à quelques semaines de la COP21, renoncé "à financer des centrales électriques au charbon et des mise de charbon thermique dans le monde entier".
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