
La grande mosquée de Marseille, un projet au point mort (photo : association de la grande mosquée de Marseille)
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FRANCE. Alors que, lundi 3 octobre 2016, le Conseil municipal de Marseille a, comme prévu, résilier le bail emphytéotique du terrain sur lequel elle devait être construite, le Conseil français du culte musulman (CFCM) se dit prêt à se mobiliser pour que le projet de grande mosquée reparte à Marseille.
Intervenant sur France Info, lundi 3 octobre 2016, le président du CFCM assure que les loyers impayés (62 000 € dues à la municipalité), cause de la résiliation du bail de cinquante ans, vont être payés dans les prochaines semaines. L'association de la mosquée de Marseille débitrice est présidée par Abderrahman Ghoul, vice-président du Conseil régional du culte musulman Paca, instance régionale du CFCM.
Pour Anouar Kbibech, "la situation est difficile mais pas insoluble." Il lance donc "un appel vibrant au maire de Marseille, M. Jean-Claude Gaudin, pour lui dire qu'il y a des éléments positifs sur la table et que le CFCM est prêt à se mobiliser pour redémarrer le projet." En séance du Conseil municipal, le maire de Marseille s'est engagé à favorisé tout nouveau projet, "si un jour la communauté musulmane veut ériger une grande mosquée." Tout en précisant, "nous vérifierons l'origine des fonds, nous vérifierons si c'est possible, et, à ce moment-là, nous chercherons un terrain pour construire cela."
Le projet de 22 M€ portant sur 8 000 m² se trouve au point mort depuis des années pour cause de difficultés à en boucler le financement. Seule la première pierre a été posée en 2010 et le permis de construire accordé en 2009 se trouve désormais caduc. Le président du CFCM assure que "deux institutions se mettent en place pour le financement du culte musulman : la Fondation de l'islam de France sur le plan culturel et une association cultuelle nationale qui pourra lever des fonds." Anouar Kbibech "espère que cela pourra changer la donne à Marseille".
Lire aussi :Le projet de grande mosquée avorte à Marseille
Intervenant sur France Info, lundi 3 octobre 2016, le président du CFCM assure que les loyers impayés (62 000 € dues à la municipalité), cause de la résiliation du bail de cinquante ans, vont être payés dans les prochaines semaines. L'association de la mosquée de Marseille débitrice est présidée par Abderrahman Ghoul, vice-président du Conseil régional du culte musulman Paca, instance régionale du CFCM.
Pour Anouar Kbibech, "la situation est difficile mais pas insoluble." Il lance donc "un appel vibrant au maire de Marseille, M. Jean-Claude Gaudin, pour lui dire qu'il y a des éléments positifs sur la table et que le CFCM est prêt à se mobiliser pour redémarrer le projet." En séance du Conseil municipal, le maire de Marseille s'est engagé à favorisé tout nouveau projet, "si un jour la communauté musulmane veut ériger une grande mosquée." Tout en précisant, "nous vérifierons l'origine des fonds, nous vérifierons si c'est possible, et, à ce moment-là, nous chercherons un terrain pour construire cela."
Le projet de 22 M€ portant sur 8 000 m² se trouve au point mort depuis des années pour cause de difficultés à en boucler le financement. Seule la première pierre a été posée en 2010 et le permis de construire accordé en 2009 se trouve désormais caduc. Le président du CFCM assure que "deux institutions se mettent en place pour le financement du culte musulman : la Fondation de l'islam de France sur le plan culturel et une association cultuelle nationale qui pourra lever des fonds." Anouar Kbibech "espère que cela pourra changer la donne à Marseille".
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