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EUROPE. Le Fonds monétaire international vient de revoir à la baisse (mardi 19 juillet) ses prévisions de croissance. Si les continents asiatique, américain et africain seront peu impactés par le Brexit, l'Europe pourrait perdre, dans le meilleur des cas, 0,2% de croissance en 2017 (+1,4%).
Selon le FMI, « les résultats du référendum britannique, qui ont pris de court les marchés financiers mondiaux, représentent la matérialisation d’un considérable risque baissier pour l’économie mondiale ». L'incertitude sur les conditions de la sortie de la Grande Bretagne de l'Union européenne devrait freiner les investissements des entreprises.
Pour Maury Obstfeld, économiste en chef du FMI, le Brexit constitue « un grain de sable » qui va brider la reprise mondiale attendue pour 2017. Le Royaume-Uni sera bien sûr le plus impacté. Si les discussions avec l'UE se déroulent sans anicroche, sa croissance restera positive, mais ne devrait pas dépasser 1,7% en 2016 et 1,3% en 2017. Sans le Brexit, elle aurait été de 1,9% et 2,2%.
La fragilité de l'économie des pays d'Europe du sud va amplifier les conséquences du Brexit. Le FMI prévoit que si les négociations sur la sortie du Royaume Unis se passent bien, elles coûteront 0,1% de croissance à la France, qui devra se contenter de + 1,2% progression de son PIB en 2017 (+1,5% en 2016).
En cas de blocage diplomatique, le manque à gagner sera beaucoup plus conséquent. Pratiquement tous les pays des cinq continents seront impactés. La Grande Bretagne connaîtra alors la récession, la France stagnera et l'Italie pourrait subir une importante crise bancaire.
Selon le FMI, « les résultats du référendum britannique, qui ont pris de court les marchés financiers mondiaux, représentent la matérialisation d’un considérable risque baissier pour l’économie mondiale ». L'incertitude sur les conditions de la sortie de la Grande Bretagne de l'Union européenne devrait freiner les investissements des entreprises.
Pour Maury Obstfeld, économiste en chef du FMI, le Brexit constitue « un grain de sable » qui va brider la reprise mondiale attendue pour 2017. Le Royaume-Uni sera bien sûr le plus impacté. Si les discussions avec l'UE se déroulent sans anicroche, sa croissance restera positive, mais ne devrait pas dépasser 1,7% en 2016 et 1,3% en 2017. Sans le Brexit, elle aurait été de 1,9% et 2,2%.
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En cas de blocage diplomatique, le manque à gagner sera beaucoup plus conséquent. Pratiquement tous les pays des cinq continents seront impactés. La Grande Bretagne connaîtra alors la récession, la France stagnera et l'Italie pourrait subir une importante crise bancaire.