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Quatre éoliennes vont voir le jour au large des côtes de Leucate et Le Bacarès. (Illustration EFGL)
PYRÉNÉES-ORIENTALES. Les porteurs du projet EFGL (Eoliennes flottantes du Golfe du Lion) annoncent mardi 20 juin 2017, le lancement de la concertation publique pour un projet de quatre éoliennes (24 MW). Elles doivent être mises en place au large, à 16 km des côtes de Leucate et de Bacarès, près de Perpignan dans le sud de la France.
Cette concertation débutera le 27 juin 2017 pour finir le 27 septembre 2017. Elle comprendra plusieurs réunions publiques.
Le projet EFGL comptera quatre éolienne de 6 MW (mégawatts) et devrait alimenter 50 000 habitants par an en énergie verte. Elles seront assemblées sur des structures flottantes en acier. Ce futur parc éolien fait parti du programmes des investissements d’avenir qui prévoit 100 MW d’énergie marine en France d’ici 2023. Il coûtera 60,5 M€. Sa première période d’exploitation devrait courir jusqu’en 2040.
Il a été retenu par l’État et l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) en novembre 2016, mais doit obtenir des autorisation administratives, ainsi qu’une étude d’impact sur l’environnement début 2018.
Ce projet est porté conjointement par Engie (66,6 mrds € de chiffre d’affaires en 2016), EDP Renewables et la Caisse des Dépôts. Le Réseau de Transport d’Électricité (RTE) s’occupera du raccordement au réseau public de transport d’électricité.
Cette concertation débutera le 27 juin 2017 pour finir le 27 septembre 2017. Elle comprendra plusieurs réunions publiques.
Le projet EFGL comptera quatre éolienne de 6 MW (mégawatts) et devrait alimenter 50 000 habitants par an en énergie verte. Elles seront assemblées sur des structures flottantes en acier. Ce futur parc éolien fait parti du programmes des investissements d’avenir qui prévoit 100 MW d’énergie marine en France d’ici 2023. Il coûtera 60,5 M€. Sa première période d’exploitation devrait courir jusqu’en 2040.
Il a été retenu par l’État et l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) en novembre 2016, mais doit obtenir des autorisation administratives, ainsi qu’une étude d’impact sur l’environnement début 2018.
Ce projet est porté conjointement par Engie (66,6 mrds € de chiffre d’affaires en 2016), EDP Renewables et la Caisse des Dépôts. Le Réseau de Transport d’Électricité (RTE) s’occupera du raccordement au réseau public de transport d’électricité.