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SYRIE / FRANCE. LafargeHolcim réagit à nouveau face au scandale qui touche son usine syrienne et annonce la "mise en place d'un processus pour examiner les allégations rapportées.'" Il sera placé sous les auspices du comité Finance et Audit. Le groupe franco-suisse se trouve accusé, notamment par le quotidien français Le Monde, d'avoir payé des taxes à l'organisation Etat islamique, en 2013 et 2014, pour permettre à son site syrien de continuer à fonctionner.
Une semaine avant ce communiqué, publié lundi 27 juin 2016 et le jour de la sortie de l'affaire, LafargeHolcim avait précisé que Lafarge avait bien opéré, de 2010 à 2014, une cimenterie à Jalabiyeh en Syrie. D'une capacité de trois millions de tonnes, cette usine fournissait le tiers du marché local. "Quand le conflit a atteint notre site, la première priorité pour Lafarge a été d'assurer la sûreté et la sécurité des salariés, tout en programmant l'éventuelle fermeture de l'usine."
En septembre 2014, Lafarge a cessé d'opérer en Syrie affirme le groupe. L'entreprise a "évacué l'ensemble de ses salariés, les a mis en congés payés et leur a indiqué qu'ils n'étaient plus autorisés à accéder à l'usine. "
En décembre 2015, suite à l'évolution du conflit en Syrie, Lafarge prend la décision de rompre les contrats de travail de ses employés et d'essayer de les replacer au sein du groupe.
Le dernier communiqué insiste sur la fait que depuis septembre 2014 "le groupe n'a pas tenté d'opérer sur le site."
Une semaine avant ce communiqué, publié lundi 27 juin 2016 et le jour de la sortie de l'affaire, LafargeHolcim avait précisé que Lafarge avait bien opéré, de 2010 à 2014, une cimenterie à Jalabiyeh en Syrie. D'une capacité de trois millions de tonnes, cette usine fournissait le tiers du marché local. "Quand le conflit a atteint notre site, la première priorité pour Lafarge a été d'assurer la sûreté et la sécurité des salariés, tout en programmant l'éventuelle fermeture de l'usine."
En septembre 2014, Lafarge a cessé d'opérer en Syrie affirme le groupe. L'entreprise a "évacué l'ensemble de ses salariés, les a mis en congés payés et leur a indiqué qu'ils n'étaient plus autorisés à accéder à l'usine. "
En décembre 2015, suite à l'évolution du conflit en Syrie, Lafarge prend la décision de rompre les contrats de travail de ses employés et d'essayer de les replacer au sein du groupe.
Le dernier communiqué insiste sur la fait que depuis septembre 2014 "le groupe n'a pas tenté d'opérer sur le site."