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Lafarge a trouvé un compromis pour sa prochaine cimenterie en Algérie (photo : Lafarge)
ALGÉRIE. Le groupe français de matériaux de construction Lafarge a finalement accepté de relancer le projet de construction d’une cimenterie à Sigus, à 500 km à l’est d’Alger sur la base d’un partenariat 51%-49%.
Lafarge détiendra 35% du capital de cette cimenterie alors que le reste reviendra au Groupe industriel des ciments d’Algérie (Gica, groupe public).
Le ministre algérien de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement, Mohamed Benmeradi a annoncé, le 10 novembre 2011 à Alger, qu’un accord entre les deux parties avait été trouvé.
Le délai de réalisation de l’usine sera de douze à seize mois. Son coût avoisinera les 365 M€. Sa capacité de production s’élèvera à 2 millions de tonnes/an, ce qui portera le total de la production algérienne de ciment à près de 20 millions de tonnes.
On se souvient que l’égyptien Orascom avait décroché, en 2007, trois titres miniers auprès de l’Agence nationale du Patrimoine minier (ANPM). Un an plus tard, Orascom vendait l’ensemble de ses cimenteries dans le monde à Lafarge.
À la suite de cette transaction, l’État algérien a adopté une loi limitant la participation des étrangers à 49% dans tout projet d’investissement en Algérie. Ayant acquis les permis d’exploitation sans autorisation préalable, Lafarge les avait perdus.
Pour sortir de l’impasse, il a accepté de relancer le projet en situation d’actionnaire minoritaire.
Lafarge détiendra 35% du capital de cette cimenterie alors que le reste reviendra au Groupe industriel des ciments d’Algérie (Gica, groupe public).
Le ministre algérien de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement, Mohamed Benmeradi a annoncé, le 10 novembre 2011 à Alger, qu’un accord entre les deux parties avait été trouvé.
Le délai de réalisation de l’usine sera de douze à seize mois. Son coût avoisinera les 365 M€. Sa capacité de production s’élèvera à 2 millions de tonnes/an, ce qui portera le total de la production algérienne de ciment à près de 20 millions de tonnes.
On se souvient que l’égyptien Orascom avait décroché, en 2007, trois titres miniers auprès de l’Agence nationale du Patrimoine minier (ANPM). Un an plus tard, Orascom vendait l’ensemble de ses cimenteries dans le monde à Lafarge.
À la suite de cette transaction, l’État algérien a adopté une loi limitant la participation des étrangers à 49% dans tout projet d’investissement en Algérie. Ayant acquis les permis d’exploitation sans autorisation préalable, Lafarge les avait perdus.
Pour sortir de l’impasse, il a accepté de relancer le projet en situation d’actionnaire minoritaire.