
Nabil al-Arabi sera samedi 10 septembre 2011 en Syrie (photo DR)
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SYRIE. La Syrie a décidé, mercredi 7 septembre 2011, de reporter, la visite du secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi "en raison de circonstances indépendantes de (sa) volonté" selon l'agence officielle syrienne Sana. Il ne s'y rendra finalement que samedi 10 septembre 2011.
Les propositions du secrétaire général de la Ligue arabe défendait treize points, une déclaration adoptée en août 2011 au Caire par les ministres arabes des Affaires étrangères de l'organisation. Le chef de l'organisation de la Ligue Arabe regroupant 22 pays arabes, devait se rendre à Damas pour demander au président syrien, Bachar Al-Assad, de respecter les treize propositions. Parmi elles, figure celles de stopper la répression contre les manifestants et d'organiser un scrutin démocratique présidentiel en 2014.
La proposition visait aussi à libérer les prisonniers politiques au cours du mouvement de contestation qui dure depuis mars 2011. Il appelle aussi à "une déclaration de principes clairs de la part de Bachar Al-Assad qui préciserait les engagements de réformes qu'il avait pris dans des discours précédents".
Mardi 6 septembre 2011, Nabil al-Arabi a affirmé qu'il était chargé "par la Ligue arabe de transmettre un message clair au régime syrien concernant ce qui se passe en Syrie, la nécessité d'arrêter les violences et la mise en œuvre immédiate de réformes".
Le document a été vivement critiqué par Damas, qui a dénoncé un "langage inacceptable et partial".
Selon l'ONU, les violences quasi quotidiennes en Syrie ont fait au moins 2 200 morts depuis le début des manifestations, à la mi-mars 2011.
Mercredi, la Syrie ainsi que la Libye seront au centre de pourparlers entre les ministres français et russes des Affaires étrangères et de la défense. Moscou bloque l'adoption d'une résolution aux Nations unies condamnant la répression.
Les propositions du secrétaire général de la Ligue arabe défendait treize points, une déclaration adoptée en août 2011 au Caire par les ministres arabes des Affaires étrangères de l'organisation. Le chef de l'organisation de la Ligue Arabe regroupant 22 pays arabes, devait se rendre à Damas pour demander au président syrien, Bachar Al-Assad, de respecter les treize propositions. Parmi elles, figure celles de stopper la répression contre les manifestants et d'organiser un scrutin démocratique présidentiel en 2014.
La proposition visait aussi à libérer les prisonniers politiques au cours du mouvement de contestation qui dure depuis mars 2011. Il appelle aussi à "une déclaration de principes clairs de la part de Bachar Al-Assad qui préciserait les engagements de réformes qu'il avait pris dans des discours précédents".
Mardi 6 septembre 2011, Nabil al-Arabi a affirmé qu'il était chargé "par la Ligue arabe de transmettre un message clair au régime syrien concernant ce qui se passe en Syrie, la nécessité d'arrêter les violences et la mise en œuvre immédiate de réformes".
Le document a été vivement critiqué par Damas, qui a dénoncé un "langage inacceptable et partial".
Selon l'ONU, les violences quasi quotidiennes en Syrie ont fait au moins 2 200 morts depuis le début des manifestations, à la mi-mars 2011.
Mercredi, la Syrie ainsi que la Libye seront au centre de pourparlers entre les ministres français et russes des Affaires étrangères et de la défense. Moscou bloque l'adoption d'une résolution aux Nations unies condamnant la répression.