
Le projet d’Olea Medical porte sur la commercialisation d'un logiciel innovant dans le traitement des accidents vasculaires cérébraux (DR)
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FRANCE. Olea Medical, une start-up française créée par Fayçal Djeridane, a levé 1 M€ et prévoit deux opérations successives en quelques mois, portant le total de ses fonds à 2 M€.
La première augmentation de capital devrait être effective ce début d’année. Le nom de l’investisseur est tenu confidentiel, mais il s’agit d’un entrepreneur privé.
Le projet d’Olea Medical vise à commercialiser un logiciel innovant dans le traitement des accidents vasculaires cérébraux. Ce logiciel a pour caractéristique de délivrer des chiffres clés, d’améliorer la qualité des images et surtout de délivrer une vision d’ensemble au médecin. Avantage : une augmentation de la réactivité, qui est essentielle dans le traitement des AVC. Le délai de prise de décision serait réduit d’une vingtaine de minutes à trois minutes.
Il s’agit de la retranscription du savoir-faire du Pr François Nicoli, de l'unité d'urgences neurovasculaires au Centre hospitalier universitaire de la Timone à Marseille.
Les AVC sont une des principales causes de mortalité dans les pays développés (3e cause de mortalité en France et la 2e en Europe). Le marché potentiel au niveau mondial s’élèverait ainsi à 600 M$.
La première augmentation de capital devrait être effective ce début d’année. Le nom de l’investisseur est tenu confidentiel, mais il s’agit d’un entrepreneur privé.
Le projet d’Olea Medical vise à commercialiser un logiciel innovant dans le traitement des accidents vasculaires cérébraux. Ce logiciel a pour caractéristique de délivrer des chiffres clés, d’améliorer la qualité des images et surtout de délivrer une vision d’ensemble au médecin. Avantage : une augmentation de la réactivité, qui est essentielle dans le traitement des AVC. Le délai de prise de décision serait réduit d’une vingtaine de minutes à trois minutes.
Il s’agit de la retranscription du savoir-faire du Pr François Nicoli, de l'unité d'urgences neurovasculaires au Centre hospitalier universitaire de la Timone à Marseille.
Les AVC sont une des principales causes de mortalité dans les pays développés (3e cause de mortalité en France et la 2e en Europe). Le marché potentiel au niveau mondial s’élèverait ainsi à 600 M$.