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Abdelwahab Nouri (photo MADR)
ALGÉRIE. La production céréalière de la campagne 2013/2014 a baissé de 30% en Algérie. Elle s’est établie à 34 millions de quintaux, a déclaré le 11 septembre 2014 le ministre algérien de l’Agriculture et du Développement rural, Abdelwahab Nouri.
"Cette année, nous avons enregistré une production de 34 millions de quintaux toutes céréales confondues", a déclaré le ministre cité par l’APS.
La production de la campagne 2013/2014 est inférieure de 30% à celle de la saison précédente qui s'était établie à 49,1 millions de quintaux, selon la même source. Le ministre a affirmé que cette baisse est due essentiellement aux conditions climatiques caractérisées par un manque de pluviométrie.
Depuis le rendement record enregistré lors de la campagne 2008/2009 avec 61,2 millions de quintaux, la production céréalière en Algérie ne cesse de reculer.
À une question sur l'importation par l'Algérie du blé français "en dépit de sa mauvaise qualité", le ministre a indiqué qu’"il ne fallait pas croire que le pays importe du n’importe quoi."
L’Algérie est le premier acheteur de blé français avec en moyenne 5 millions de tonnes par an. En août 2014, l'Algérie avait décidé de ne pas prendre possession de toute livraison de blé d'origine "mixte" et l'office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) avait demandé à ses fournisseurs de respecter les clauses du cahier des charges qui impose une origine unique pour le blé.
"Cette année, nous avons enregistré une production de 34 millions de quintaux toutes céréales confondues", a déclaré le ministre cité par l’APS.
La production de la campagne 2013/2014 est inférieure de 30% à celle de la saison précédente qui s'était établie à 49,1 millions de quintaux, selon la même source. Le ministre a affirmé que cette baisse est due essentiellement aux conditions climatiques caractérisées par un manque de pluviométrie.
Depuis le rendement record enregistré lors de la campagne 2008/2009 avec 61,2 millions de quintaux, la production céréalière en Algérie ne cesse de reculer.
À une question sur l'importation par l'Algérie du blé français "en dépit de sa mauvaise qualité", le ministre a indiqué qu’"il ne fallait pas croire que le pays importe du n’importe quoi."
L’Algérie est le premier acheteur de blé français avec en moyenne 5 millions de tonnes par an. En août 2014, l'Algérie avait décidé de ne pas prendre possession de toute livraison de blé d'origine "mixte" et l'office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) avait demandé à ses fournisseurs de respecter les clauses du cahier des charges qui impose une origine unique pour le blé.
