Voir aussi
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
La production d'électricité solaire européenne a atteint un record pendant l'été 2022
-
Aquila Clean Energy va investir 2 mrds€ dans les énergies renouvelables en Espagne et au Portugal
-
Le Comité des droits de l'homme juge Madrid coupable de viol des droits politiques des séparatistes catalans
PORTUGAL. Le nouveau gouvernement portugais d'Antonio Costa a annoncé jeudi 7 janvier 2016 l'annulation de la privatisation des transports urbains de Lisbonne et de Porto décidée en 2015 par son prédécesseur.
Trois concessionnaires avaient été choisis : l'espagnol Avanza, premier opérateur privé de transports urbains en Espagne et filiale du mexicain ADO, pour Lisbonne, Une autre société espagnole, Alsa, filiale du britannique National Express, pour le métro de Porto. Et enfin le Français Transdev, filiale de la Caisse des dépôts et de Veolia Environnement, pour les bus de Porto.
La privation des transports urbains de Lisbonne avait été en son temps contestée devant les tribunaux par Antonio Costa, alors maire de la capitale portugaise.
La Cour des comptes n'ayant pas validé les privatisations, les trois sociétés ne devraient pas recevoir d'indemnisation.
La prochaine étape de ce changement radical de stratégie dans le domaine des transports pourrait concerner la compagnie aérienne nationale TAP, privatisée par l'ancien gouvernement, que la nouvelle majorité entend faire redevenir publique.
Trois concessionnaires avaient été choisis : l'espagnol Avanza, premier opérateur privé de transports urbains en Espagne et filiale du mexicain ADO, pour Lisbonne, Une autre société espagnole, Alsa, filiale du britannique National Express, pour le métro de Porto. Et enfin le Français Transdev, filiale de la Caisse des dépôts et de Veolia Environnement, pour les bus de Porto.
La privation des transports urbains de Lisbonne avait été en son temps contestée devant les tribunaux par Antonio Costa, alors maire de la capitale portugaise.
La Cour des comptes n'ayant pas validé les privatisations, les trois sociétés ne devraient pas recevoir d'indemnisation.
La prochaine étape de ce changement radical de stratégie dans le domaine des transports pourrait concerner la compagnie aérienne nationale TAP, privatisée par l'ancien gouvernement, que la nouvelle majorité entend faire redevenir publique.