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L'ancien PDG d'Air France devra-t-il rembourser le trop perçu ? (photo F.Dubessy)
FRANCE. Le nouveau gouvernement français, sous la houlette du président François Hollande, entend déjà mettre les pieds dans le plat aux massives rémunérations des grands patrons d'entreprises publiques.
Il en aura l'occasion jeudi 31 mai 2012, lors de l'assemblée générale du groupe Air France. L’État y demandera l'invalidité de la prime de 400 000 € de Pierre-Henri Gourgeon, ancien PDG du Groupe.
L’État, qui possède près de 16% du capital de la compagnie aérienne, tentera ainsi de convaincre les autres actionnaires. Cette prime fait partie intégrante de l'indemnité de départ de l'ancien patron (1,4 million €) et pour laquelle le conseil d'administration a déjà donné son accord.
Il en aura l'occasion jeudi 31 mai 2012, lors de l'assemblée générale du groupe Air France. L’État y demandera l'invalidité de la prime de 400 000 € de Pierre-Henri Gourgeon, ancien PDG du Groupe.
L’État, qui possède près de 16% du capital de la compagnie aérienne, tentera ainsi de convaincre les autres actionnaires. Cette prime fait partie intégrante de l'indemnité de départ de l'ancien patron (1,4 million €) et pour laquelle le conseil d'administration a déjà donné son accord.