
Photo CC-A.Gould
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ISRAËL. Dans son rapport final sur les prix de la nourriture, le Comité Kedmi, dénonce la surconcentration dans l'industrie alimentaire israélienne, d'être responsable de la hausse fulgurante des prix, pendant ces sept dernières années.
“Nous recommandons au gouvernement d’ouvrir très rapidement le marché alimentaire aux importations” a déclaré le Comité, lundi 4 juin 2012.
Le comité, présidé par le directeur général du ministère de l'Industrie, du Commerce et du Travail, Sharon Kedmi, a été établi en 2011 suite aux protestations sociales des consommateurs israéliens contre les grandes entreprises alimentaires manufacturières Tnuva, Strauss et Tara.
“Entre 2008 et 2010, les consommateurs israéliens ont payé la nourriture entre 10 et 20%, plus chère que les consommateurs des autres pays à économie développée de l’OCDE. Pourtant, en 2005, les Israéliens payaient la nourriture entre 10 et 20% moins chère que dans ces mêmes pays” précise le rapport.
Selon le Comité Kedmi, cette hausse des prix rapide serait due à une surconcentration aussi bien au niveau des détaillants qu’au niveau des fournisseurs, dans les secteurs de l’alimentation. Le rapport stipule également qu’Israël est le pays de l’OCDE, où la fourniture de seize catégories de biens alimentaires, sur 22, est la plus concentrée.
“Nous recommandons au gouvernement d’ouvrir très rapidement le marché alimentaire aux importations” a déclaré le Comité, lundi 4 juin 2012.
Le comité, présidé par le directeur général du ministère de l'Industrie, du Commerce et du Travail, Sharon Kedmi, a été établi en 2011 suite aux protestations sociales des consommateurs israéliens contre les grandes entreprises alimentaires manufacturières Tnuva, Strauss et Tara.
“Entre 2008 et 2010, les consommateurs israéliens ont payé la nourriture entre 10 et 20%, plus chère que les consommateurs des autres pays à économie développée de l’OCDE. Pourtant, en 2005, les Israéliens payaient la nourriture entre 10 et 20% moins chère que dans ces mêmes pays” précise le rapport.
Selon le Comité Kedmi, cette hausse des prix rapide serait due à une surconcentration aussi bien au niveau des détaillants qu’au niveau des fournisseurs, dans les secteurs de l’alimentation. Le rapport stipule également qu’Israël est le pays de l’OCDE, où la fourniture de seize catégories de biens alimentaires, sur 22, est la plus concentrée.