Voir aussi
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
LIBYE. La marine libyenne a intercepté, dimanche 27 août 2017, un pétrolier et son chargement illégal de carburant à 170 km au large de Tripoli près de la frontière tunisienne.
Le navire appartient à une compagnie grecque et porte le pavillon libérien. Il contient six millions de litres de carburants et a été saisi. Son équipage est composé de vingt Philippins, tous ont été ramenés à Tripoli pour interrogatoire.
Fin avril 2017, après un échange de coups de feu, la marine libyenne avait déjà saisi deux tankers (un battant pavillon ukrainien, l'autre congolais) qui tentaient de s'approvisionner illégalement en Diesel alimentés par un ballet de chalutiers de pêche. En mars 2017, il s'agissait d'un navire turc.
Le gouvernement d'union nationale libyen (GNA) peine à lutter contre la contrebande d'essence, un produit fortement subventionné par l'Etat et offrant de larges marges aux trafiquants à l'extérieur des frontières libyenne. Il a lancé en avril 2017 une opération "Tempête de la Méditerranée" pour lutter contre ce trafic au large des côtes libyennes. Si des bateaux sont interceptés, des camions-citernes passent également par la Tunisie.
Le navire appartient à une compagnie grecque et porte le pavillon libérien. Il contient six millions de litres de carburants et a été saisi. Son équipage est composé de vingt Philippins, tous ont été ramenés à Tripoli pour interrogatoire.
Fin avril 2017, après un échange de coups de feu, la marine libyenne avait déjà saisi deux tankers (un battant pavillon ukrainien, l'autre congolais) qui tentaient de s'approvisionner illégalement en Diesel alimentés par un ballet de chalutiers de pêche. En mars 2017, il s'agissait d'un navire turc.
Le gouvernement d'union nationale libyen (GNA) peine à lutter contre la contrebande d'essence, un produit fortement subventionné par l'Etat et offrant de larges marges aux trafiquants à l'extérieur des frontières libyenne. Il a lancé en avril 2017 une opération "Tempête de la Méditerranée" pour lutter contre ce trafic au large des côtes libyennes. Si des bateaux sont interceptés, des camions-citernes passent également par la Tunisie.