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ITALIE. Virginia Raggi, maire de Rome (mouvement cinq étoiles), refuse l’arrivée de nouveaux migrants. « Rome est soumise à une forte pression migratoire, nous ne pouvons pas continuer ainsi et créer de nouvelles tensions sociales », constate-t-elle sur les réseaux sociaux.
L’annonce du gouvernement de créer 8 000 places d’hébergements supplémentaires dans la capitale est à l’origine de cette déclaration. Rome comptabilise déjà 9 000 migrants logés dans des structures publiques. Le nombre total de réfugiés dans les rues de la ville n’est quant à lui pas connu.
Virginia Raggi a réagi en interdisant l’appel d’offres pour l’obtention de ces places supplémentaires. « Je considère impossible, voire dangereux, d’autoriser la création de nouvelles structures d’accueil », souligne-t-elle.
La maire de Rome a notamment envoyé une lettre au préfet de la capitale, pour que ce dernier demande un moratoire au ministère de l’Intérieur, sur l’arrivée de nouveaux migrants.
L’agression d’un journaliste lors d’un direct à Rome le 4 mai 2017 a un peu plus nourri les tensions au sein de la capitale. L’agresseur était un Ivoirien en situation illégale sur le territoire italien.
Depuis le début de l’année, 62 000 migrants ont débarqué sur les côtes italiennes. Près de 170 000 personnes sont hébergées dans des structures d’accueil en Italie.
Le gouvernement italien a fait adopter, en avril 2017 au Parlement, un plan prévoyant d’augmenter la capacité d’accueil des demandeurs d’asile, mais aussi aussi de mettre un frein aux arrivées. Il prévoit de répartir les migrants dans de petites structures, avec un objectif de 2,5 demandeurs pour 1 000 habitants.
L’annonce du gouvernement de créer 8 000 places d’hébergements supplémentaires dans la capitale est à l’origine de cette déclaration. Rome comptabilise déjà 9 000 migrants logés dans des structures publiques. Le nombre total de réfugiés dans les rues de la ville n’est quant à lui pas connu.
Virginia Raggi a réagi en interdisant l’appel d’offres pour l’obtention de ces places supplémentaires. « Je considère impossible, voire dangereux, d’autoriser la création de nouvelles structures d’accueil », souligne-t-elle.
La maire de Rome a notamment envoyé une lettre au préfet de la capitale, pour que ce dernier demande un moratoire au ministère de l’Intérieur, sur l’arrivée de nouveaux migrants.
L’agression d’un journaliste lors d’un direct à Rome le 4 mai 2017 a un peu plus nourri les tensions au sein de la capitale. L’agresseur était un Ivoirien en situation illégale sur le territoire italien.
Depuis le début de l’année, 62 000 migrants ont débarqué sur les côtes italiennes. Près de 170 000 personnes sont hébergées dans des structures d’accueil en Italie.
Le gouvernement italien a fait adopter, en avril 2017 au Parlement, un plan prévoyant d’augmenter la capacité d’accueil des demandeurs d’asile, mais aussi aussi de mettre un frein aux arrivées. Il prévoit de répartir les migrants dans de petites structures, avec un objectif de 2,5 demandeurs pour 1 000 habitants.