
Carlos Ghosn va pouvoir sortir de prison sauf si de nouvelles accusations interviennent (photo : DR)
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FRANCE / JAPON. Le tribunal de Tokyo a accepté, mardi 5 mars 2019, la libération sous caution de Carlos Ghosn. Il s'agissait de la troisième demande après celles du 10 décembre 2018 et du 11 janvier 2019 et de la première de son nouvel avocat Junichiro Hironaka.
En prison depuis son arrestation sur le tarmac de l'aéroport de la capitale nippone le 19 novembre 2018, le désormais ancien Pdg des constructeurs automobile Renault et Nissan fait l'objet de plusieurs accusations de minoration de revenus dans les déclarations boursières (2010 à 2015 puis 2015 à 2018) et pour abus de confiance aggravé.
Sa caution a été fixée à 1 milliard de yens soit quelque 8 M€ et Carlos Ghosn devra rester sur le territoire japonais.
Reste que la décision pourrait ne pas être appliquée, le Parquet de Tokyo, via le bureau des procureurs, ayant décidé de faire appel de cette libération sous caution. Et l'on se rappelle que le 10 décembre 2018 une libération sous caution avait été acceptée puis annulée à cause de nouvelles charges soulevées par les procureurs.
En prison depuis son arrestation sur le tarmac de l'aéroport de la capitale nippone le 19 novembre 2018, le désormais ancien Pdg des constructeurs automobile Renault et Nissan fait l'objet de plusieurs accusations de minoration de revenus dans les déclarations boursières (2010 à 2015 puis 2015 à 2018) et pour abus de confiance aggravé.
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Reste que la décision pourrait ne pas être appliquée, le Parquet de Tokyo, via le bureau des procureurs, ayant décidé de faire appel de cette libération sous caution. Et l'on se rappelle que le 10 décembre 2018 une libération sous caution avait été acceptée puis annulée à cause de nouvelles charges soulevées par les procureurs.