
Carlos Ghosn devrait rester en prison après de nouvelles accusations (photo : DR)
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FRANCE / JAPON. La justice japonaise est loin d'en avoir terminé avec Carlos Ghosn. Mercredi 5 décembre 2018, le bureau des procureurs de Tokyo a requis un nouveau mandat d'arrêt contre celui qui n'est plus que Pdg de Renault et président de l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi après avoir perdu ses présidences de Nissan puis de Mitsubishi.
Il devra répondre de nouveaux soupçons de minoration de revenus. Carlos Ghosn se trouve en effet accusé d'avoir dissimulé 4 milliards de yens de plus (31 M€) sur trois ans. Ceci porterait à près de 69 M€ les gains dissimulés.
Parallèlement, Nissan lui reproche aussi désormais des abus de biens sociaux pour l'utilisation de résidences de luxe aux frais du constructeur japonais.
Le 19 novembre 2018, l'homme d'affaires franco-libanais avait été interpelé puis incarcéré à Tokyo pour fraude fiscale. Ce nouveau mandat d'arrêt va prolonger sa garde à vue et donc son incarcération.
Il devra répondre de nouveaux soupçons de minoration de revenus. Carlos Ghosn se trouve en effet accusé d'avoir dissimulé 4 milliards de yens de plus (31 M€) sur trois ans. Ceci porterait à près de 69 M€ les gains dissimulés.
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