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FRANCE. Sept régions à droite, cinq à gauche, une aux autonomistes et ... zéro pour le Front National. Le second tour, des élections régionales en France, dimanche 13 décembre 2015, n'aura, malgré un très fort suspens, livré aucune région au Front National, qui renforce pourtant son score du premier tour.
Avec une abstention estimée à 41%, soit dix points de plus de participation au second tour par rapport au premier, les électeurs ont choisi de confier les clefs des nouvelles régions en majorité à la droite. Ils ont aussi permis au Front National de tripler son nombre de conseillers régionaux et lui offrent ainsi le titre envié de première force de l'opposition. Avec, comme en Provence Alpes Côte d'Azur et en Nord-Pas-de Calais-Picardie, les coudées franches dans ce rôle puisqu'aucun élu de gauche ne siègera.
Sur la façade méditerranéenne, c'est donc Christian Estrosi (LR-UDI-MoDem) qui présidera la région Provence-Alpes-Côte d'Azur avec comme premier vice-président Renaud Muselier, ancien secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et ex-président de l'Institut du Monde Arabe. Carole Delga (PS-PRG-EELV) s'empare elle de la grande région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Quant à la Corse, la quadrangulaire entre la droite, la gauche et le FN, bénéficie au quatrième, Gilles Simeoni, chef de la liste de coalition autonomistes-indépendantistes. C'est la première fois que des élus nationalistes, mais aussi du Front National, siègeront dans la Collectivité territoriale.
Avec une abstention estimée à 41%, soit dix points de plus de participation au second tour par rapport au premier, les électeurs ont choisi de confier les clefs des nouvelles régions en majorité à la droite. Ils ont aussi permis au Front National de tripler son nombre de conseillers régionaux et lui offrent ainsi le titre envié de première force de l'opposition. Avec, comme en Provence Alpes Côte d'Azur et en Nord-Pas-de Calais-Picardie, les coudées franches dans ce rôle puisqu'aucun élu de gauche ne siègera.
Sur la façade méditerranéenne, c'est donc Christian Estrosi (LR-UDI-MoDem) qui présidera la région Provence-Alpes-Côte d'Azur avec comme premier vice-président Renaud Muselier, ancien secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et ex-président de l'Institut du Monde Arabe. Carole Delga (PS-PRG-EELV) s'empare elle de la grande région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées. Quant à la Corse, la quadrangulaire entre la droite, la gauche et le FN, bénéficie au quatrième, Gilles Simeoni, chef de la liste de coalition autonomistes-indépendantistes. C'est la première fois que des élus nationalistes, mais aussi du Front National, siègeront dans la Collectivité territoriale.