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Le port d’Alger au cœur d’un scandale (photo AB)
ALGERIE. Les investigations menées par les officiers judiciaires militaires du département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) ont abouti à l’arrestation, le 22 avril 2010, de l’actuel pdg de l’Entreprise portuaire d’Alger (EPAL), de son directeur adjoint et de son prédécesseur.
Quatre autres cadres de l’entreprise ont de leur côté été placés sous contrôle judiciaire : le directeur adjoint chargé des techniques, le directeur des conteneurs, le directeur de la sécurité interne et le directeur des logistiques.
Cette équipe est poursuivie pour « malversation, violation de la législation en matière de passation de marchés publics, corruption et association de malfaiteurs ».
Les différentes directions de l’EPAL qui se sont succédés à la tête du port d’Alger ont autorisé, depuis une dizaine d’années, trois opérateurs privés à exercer dans la manutention des containers et ce, en violation de la règlementation.
Cette affaire intervient moins de trois semaines après le scandale du port d’Oran (ouest du pays) qui a vu la mise sous contrôle judiciaire du pdg de l’entreprise portuaire d’Oran (EPR) pour une affaire de faux en écriture dans la comptabilité et les finances de l’entreprise.
Quatre autres cadres de l’entreprise ont de leur côté été placés sous contrôle judiciaire : le directeur adjoint chargé des techniques, le directeur des conteneurs, le directeur de la sécurité interne et le directeur des logistiques.
Cette équipe est poursuivie pour « malversation, violation de la législation en matière de passation de marchés publics, corruption et association de malfaiteurs ».
Les différentes directions de l’EPAL qui se sont succédés à la tête du port d’Alger ont autorisé, depuis une dizaine d’années, trois opérateurs privés à exercer dans la manutention des containers et ce, en violation de la règlementation.
Cette affaire intervient moins de trois semaines après le scandale du port d’Oran (ouest du pays) qui a vu la mise sous contrôle judiciaire du pdg de l’entreprise portuaire d’Oran (EPR) pour une affaire de faux en écriture dans la comptabilité et les finances de l’entreprise.