
Pedro Sanchez quitte la tête du Parti socialiste espagnol (photo PSOE)
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ESPAGNE. La démission "forcée" du leader socialiste espagnol lève l'obstacle à la formation d'un nouveau gouvernement des conservateurs de Mariano Rajoy. L'Espagne se trouve, depuis neuf mois, sans premier ministre, le numéro un du Parti Populaire (PP) ne l'étant que par intérim.
Pedro Sanchez perd son fauteuil de secrétariat général du Parti socialiste espagnol (PSOE), poussé à la porte samedi 1er octobre 2016 par plusieurs membres de son bureau. Il s'opposait à l'émergence d'un nouveau gouvernement en mettant le veto des quatre vingt cinq élus socialiste au Parlement. Et empêchant par là-même tout vote favorable aux équipes présentées par Mariano Rajoy. Depuis les élections de décembre 2015 et celles de juin 2016, le Parlement se trouve fragmenté en quatre partis : le PP, le PSOE, Podemos (extrême-gauche) et Ciudadanos (centre) donc sans aucune majorité.
L'impasse institutionnelle semble donc levée alors qu'il ne restait plus que jusqu'au 31 octobre 2016 pour former un nouveau gouvernement sous peine de convier, une troisième fois en mois d'un an, aux urnes les Espagnols.
Pedro Sanchez est remplacé par Javier Fernandez, représentant fédéral de la région des Asturies.
Lire aussi :La crise politique perdure en Espagne
Pedro Sanchez perd son fauteuil de secrétariat général du Parti socialiste espagnol (PSOE), poussé à la porte samedi 1er octobre 2016 par plusieurs membres de son bureau. Il s'opposait à l'émergence d'un nouveau gouvernement en mettant le veto des quatre vingt cinq élus socialiste au Parlement. Et empêchant par là-même tout vote favorable aux équipes présentées par Mariano Rajoy. Depuis les élections de décembre 2015 et celles de juin 2016, le Parlement se trouve fragmenté en quatre partis : le PP, le PSOE, Podemos (extrême-gauche) et Ciudadanos (centre) donc sans aucune majorité.
L'impasse institutionnelle semble donc levée alors qu'il ne restait plus que jusqu'au 31 octobre 2016 pour former un nouveau gouvernement sous peine de convier, une troisième fois en mois d'un an, aux urnes les Espagnols.
Pedro Sanchez est remplacé par Javier Fernandez, représentant fédéral de la région des Asturies.
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