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La banque mondiale révise ses perspectives sur l'Algérie (photo DR)
ALGÉRIE. Le rapport de la Banque mondiale (BM) sur les perspectives économiques mondiales pour l’année 2012 est sorti le 17 janvier 2011. Pour ce qui est de l’Algérie, il prévoit une croissance de 2,7% en 2012, en légère baisse par rapport aux 3% réalisés en 2011.
La courbe devrait néanmoins repartir à la hausse en 2013 pour atteindre 2,9%.
Ce repli des prévisions de la BM est lié à la détérioration de la situation économique internationale. En juin 2011, l’institution de Bretton Woods tablait sur une croissance de 3,6% du PIB pour l’année 2012. Mais la crise mondiale est passée par là, obligeant à reconsidérer les perspectives.
La bonne tenue financière de l’économie algérienne est directement liée à une conjoncture favorable sur le marché des hydrocarbures. Le pays a accru ses recettes pétrolières et gazières de 25% en 2011.
La BM souligne cependant que les recettes d’exportation d’hydrocarbures – dont on sait qu’elles représentent plus de 98% des recettes en devises du pays – ne représentent finalement que 26% du PIB, ce qui met quelque peu à mal l’image généralement présentée d’un pays dont l’économie reposerait uniquement sur la « rente pétrolière ».
La courbe devrait néanmoins repartir à la hausse en 2013 pour atteindre 2,9%.
Ce repli des prévisions de la BM est lié à la détérioration de la situation économique internationale. En juin 2011, l’institution de Bretton Woods tablait sur une croissance de 3,6% du PIB pour l’année 2012. Mais la crise mondiale est passée par là, obligeant à reconsidérer les perspectives.
La bonne tenue financière de l’économie algérienne est directement liée à une conjoncture favorable sur le marché des hydrocarbures. Le pays a accru ses recettes pétrolières et gazières de 25% en 2011.
La BM souligne cependant que les recettes d’exportation d’hydrocarbures – dont on sait qu’elles représentent plus de 98% des recettes en devises du pays – ne représentent finalement que 26% du PIB, ce qui met quelque peu à mal l’image généralement présentée d’un pays dont l’économie reposerait uniquement sur la « rente pétrolière ».