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ESPAGNE / MAROC. Selon l'agence de presse privée espagnole Europa Press, Repsol compte se désengager du Maroc, d'Australie, d'Irlande et d'Irak. Fin novembre 2020, son CEO Josu Jon Imaz avait dévoilé le plan stratégique 2021-2025 de sa société spécialisée dans l'exploration et la production d'hydrocarbures. Il avait évoqué son intention de réduire à quatorze pays son implantation dans le monde dans les vingt ans à venir, contre trente-cinq actuellement (25 000 salariés).
Josu Jon Imaz expliquait cette rationalisation par une volonté "d'être plus efficace dans le domaine de l'amont". Ceci passant donc par la vente d'actifs d'exploration et de production. Le CEO précisait que les sept grands complexes industriels situés en Espagne, au Portugal (ses deux principaux marchés) et au Pérou auraient la priorité et continueraient à se développer pour devenir des centres multi-énergies. Ces sites disposent actuellement d'une capacité de raffinage de un million de barils par jour.
Au Maroc, l'entreprise madrilène est présente à la fois sur l'amont (exploration et extraction) et l'aval (production et distribution soit raffineries et stations service). Repsol y travaille depuis 2010 et pourrait donc abandonner son activité ce qui impliquerait une vente des 75% de parts qu'elle possède dans le bloc Ghrab Offshore Sud situé dans le bassin de Rharb Prérif sur une surface de 7 026 km². L'Espagnol est également engagé dans la distribution de lubrifiants au Maroc.
Dans la même région, Repsol est aussi implantée en Algérie (depuis 1973 avec notamment les sites de Reggane Nord, Ilizi Sud-Est et Tin-Fouye) et en Libye depuis le début des années 70.
Repsol (6,2 mrds€ d'Ebitda en 2019, 3,8 mrds en 2020 et 6,6 mrds€ attendus en 2022) envisage de devenir une entreprise zéro émissions d'ici 2050. Le plan stratégique 2021-2025 constitue une première étape avec 18,3 mrds€ d'investissement sur la période, dont 5,5 mrds€ alloués aux initiatives à faible intensité de carbone. L'entreprise devrait se développer sur ce secteur dans les pays où elle dispose déjà des actifs comme l'Espagne, le Portugal et le Chili.
Josu Jon Imaz expliquait cette rationalisation par une volonté "d'être plus efficace dans le domaine de l'amont". Ceci passant donc par la vente d'actifs d'exploration et de production. Le CEO précisait que les sept grands complexes industriels situés en Espagne, au Portugal (ses deux principaux marchés) et au Pérou auraient la priorité et continueraient à se développer pour devenir des centres multi-énergies. Ces sites disposent actuellement d'une capacité de raffinage de un million de barils par jour.
Au Maroc, l'entreprise madrilène est présente à la fois sur l'amont (exploration et extraction) et l'aval (production et distribution soit raffineries et stations service). Repsol y travaille depuis 2010 et pourrait donc abandonner son activité ce qui impliquerait une vente des 75% de parts qu'elle possède dans le bloc Ghrab Offshore Sud situé dans le bassin de Rharb Prérif sur une surface de 7 026 km². L'Espagnol est également engagé dans la distribution de lubrifiants au Maroc.
Dans la même région, Repsol est aussi implantée en Algérie (depuis 1973 avec notamment les sites de Reggane Nord, Ilizi Sud-Est et Tin-Fouye) et en Libye depuis le début des années 70.
Repsol (6,2 mrds€ d'Ebitda en 2019, 3,8 mrds en 2020 et 6,6 mrds€ attendus en 2022) envisage de devenir une entreprise zéro émissions d'ici 2050. Le plan stratégique 2021-2025 constitue une première étape avec 18,3 mrds€ d'investissement sur la période, dont 5,5 mrds€ alloués aux initiatives à faible intensité de carbone. L'entreprise devrait se développer sur ce secteur dans les pays où elle dispose déjà des actifs comme l'Espagne, le Portugal et le Chili.