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LIBYE. En marge de l'Assemblée générale de l'Onu, une vingtaine de pays a participé à une réunion, vendredi 23 septembre 2016 à New York, pour soutenir le gouvernement d'union nationale libyen (GNA).
Son premier ministre Fayez el-Sarraj, reconnu par la communauté internationale, a perdu de sa crédibilité en Libye depuis la prise des quatre ports du Croissant pétrolier par l'armée rivale conduite par le général Khalifa Haftar. Pour la première fois depuis deux ans, un pétrolier a pu partir de Ras Lanouf, le principal port pétrolier du pays, sous l'égide de la NOC, la compagnie nationale du pétrole réunifiée.
Pour Martin Kobler, envoyé spécial de l'Onu, "la question pétrolière devrait unir et non diviser les Libyens".
"Je suis prêt à parler avec tout le monde pour permettre de résoudre les problèmes des Libyens" affirme Fayez el-Sarraj. Y compris avec le gouvernement implanté à l'Est du pays. Le premier ministre libyen pose cependant un préalable : "mettre en place une armée unifiée sous le contrôle de l'autorité politique."
Parmi la vingtaine de pays présents lors de cette réunion pour réaffirmer que le seul gouvernement légitime reste celui basé à Tripoli, figurent la France, l'Italie, la Turquie, l’Égypte, les Émirats arabes unis et les États-Unis. Une déclaration finale évoque la nécessité "d'un dialogue inclusif et la réconciliation nationale."
Son premier ministre Fayez el-Sarraj, reconnu par la communauté internationale, a perdu de sa crédibilité en Libye depuis la prise des quatre ports du Croissant pétrolier par l'armée rivale conduite par le général Khalifa Haftar. Pour la première fois depuis deux ans, un pétrolier a pu partir de Ras Lanouf, le principal port pétrolier du pays, sous l'égide de la NOC, la compagnie nationale du pétrole réunifiée.
Pour Martin Kobler, envoyé spécial de l'Onu, "la question pétrolière devrait unir et non diviser les Libyens".
"Je suis prêt à parler avec tout le monde pour permettre de résoudre les problèmes des Libyens" affirme Fayez el-Sarraj. Y compris avec le gouvernement implanté à l'Est du pays. Le premier ministre libyen pose cependant un préalable : "mettre en place une armée unifiée sous le contrôle de l'autorité politique."
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