
L'Emirat, qui ne détient pas de pétrole, a misé sur les projets les plus fous ces dernières années (photo Wikipédia)
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DUBAI. La nouvelle de la quasi-faillite du petit Emirat de Dubaï s’est répandue à la vitesse de l’éclair. L'annonce par le gouvernement jeudi 26 novembre 2009 qu'il allait demander aux créanciers un rééchelonnement de la dette de Dubai World, le conglomérat qui a piloté son expansion effrénée ces dernières années, et de sa filiale immobilière Nakheel a déclenché un vent de panique sur les marchés financiers. Vendredi 27 novembre 2009, l’optimisme semblait revenir dans les différentes bourses mondiales.
Le moratoire demandé par le gouvernement de Dubaï porte dans un premier temps sur la restructuration de Dubai World, dont la dette s'élève à 59 mds $ (39,1 mds€). Elle représente près des trois-quarts de la dette totale de Dubaï (80 mds $).
L'émirat a tenté de rassurer les marchés en précisant que l'entreprise bénéficiaire DP World, qui exploite 49 ports dans le monde, ne serait pas incluse dans la restructuration.
Le moratoire demandé par le gouvernement de Dubaï porte dans un premier temps sur la restructuration de Dubai World, dont la dette s'élève à 59 mds $ (39,1 mds€). Elle représente près des trois-quarts de la dette totale de Dubaï (80 mds $).
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