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Abdelmalek Sellal (photo DR)
ALGÉRIE. Le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, a inauguré le 15 mars 2011 la première partie du réseau de transfert d’eau reliant In Salah à Tamanrasset sur une longueur de 750 km.
Le réseau d’acheminement compte six stations de pompage ainsi qu’une station de déminéralisation à même de réduire le taux de salinité de 100 000 m3 d’eau/jour.
D’un montant de 197 mrds de dinars algériens, soit 1,951 mrds €, cette réalisation permet désormais d’alimenter la capitale du Hoggar en eau potable à raison de 50 000m3/jour. Il est prévu de doubler cette capacité aux alentours de 2030. Les besoins des 337 400 habitants de Tamanrasset et de sa région n’atteignent pas encore les 25 000 m3/jour.
La nappe d’In Salah recèle 45 000 milliards de m3 d’eau. Elle sera à même de couvrir les besoins régionaux en eau pour plusieurs siècles.
Cette infrastructure a été réalisée par deux groupements d’entreprises. Le premier compte deux entreprises chinoises (CGC-SIPSC) alors que le second se compose de l’Algérien Cosider, du libanais Zakhem et du turc Erciyas.
Cette réalisation va permettre le développement des villages situés sur le parcours de l’infrastructure de transfert ainsi que la création d’une dizaine de nouvelles petites agglomérations de près de 10 000 habitants chacune.
Le réseau d’acheminement compte six stations de pompage ainsi qu’une station de déminéralisation à même de réduire le taux de salinité de 100 000 m3 d’eau/jour.
D’un montant de 197 mrds de dinars algériens, soit 1,951 mrds €, cette réalisation permet désormais d’alimenter la capitale du Hoggar en eau potable à raison de 50 000m3/jour. Il est prévu de doubler cette capacité aux alentours de 2030. Les besoins des 337 400 habitants de Tamanrasset et de sa région n’atteignent pas encore les 25 000 m3/jour.
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Cette infrastructure a été réalisée par deux groupements d’entreprises. Le premier compte deux entreprises chinoises (CGC-SIPSC) alors que le second se compose de l’Algérien Cosider, du libanais Zakhem et du turc Erciyas.
Cette réalisation va permettre le développement des villages situés sur le parcours de l’infrastructure de transfert ainsi que la création d’une dizaine de nouvelles petites agglomérations de près de 10 000 habitants chacune.