
Chaque jour, 165 hectares de milieux naturels ou de terrains agricoles sont remplacés par des routes, des habitations ou des zones d’activités. Photo Bernard Royo
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FRANCE. Transition énergétique rime souvent dans l'esprit du public avec crise climatique et gaz à effet de serre.
La biodiversité, bien que peut-être moins connue, n’en reste pas moins un enjeu crucial. Penser à la préservation de la biodiversité de notre territoire peut-être une manière de modifier notre mode de fonctionnement et surtout notre relation avec la nature. C’est en tout cas ce que pense le bureau d’études ECO-MED. « Préserver les écosystèmes, en empêchant que de nouvelles zones naturelles soient artificialisées, nous pousse à améliorer l’organisation de nos aires urbaines. » développe Julien Viglione, directeur général d’ECO-MED.
Pour comprendre l’impact de l’artificialisation des terres sauvages, l’IFEN, l’institut français de l’environnement, cite des chiffres alarmants. Chaque jour, 165 hectares de milieux naturels ou de terrains agricoles sont remplacés par des routes, des habitations ou des zones d’activités. « Entre 2006 et 2014, 500 000 hectares ont été artificialisé » ajoute Julien Viglione.
Ces transformations ont des conséquences sur les écosystèmes. La vallée de la Durance en est un parfait exemple. « Avec une autoroute, une route nationale, des poteaux électriques et une voie ferrée qui sépare la zone sauvage du lit de la Durance, accéder à l'eau est difficile et dangereux pour les espèces animales » explique Alexandre Cluchier, directeur international d’ECO-MED.
« La disparition d’une espèce entraîne la fragilisation d’un milieu entier » conclut Julien Viglione.
La biodiversité, bien que peut-être moins connue, n’en reste pas moins un enjeu crucial. Penser à la préservation de la biodiversité de notre territoire peut-être une manière de modifier notre mode de fonctionnement et surtout notre relation avec la nature. C’est en tout cas ce que pense le bureau d’études ECO-MED. « Préserver les écosystèmes, en empêchant que de nouvelles zones naturelles soient artificialisées, nous pousse à améliorer l’organisation de nos aires urbaines. » développe Julien Viglione, directeur général d’ECO-MED.
Pour comprendre l’impact de l’artificialisation des terres sauvages, l’IFEN, l’institut français de l’environnement, cite des chiffres alarmants. Chaque jour, 165 hectares de milieux naturels ou de terrains agricoles sont remplacés par des routes, des habitations ou des zones d’activités. « Entre 2006 et 2014, 500 000 hectares ont été artificialisé » ajoute Julien Viglione.
Ces transformations ont des conséquences sur les écosystèmes. La vallée de la Durance en est un parfait exemple. « Avec une autoroute, une route nationale, des poteaux électriques et une voie ferrée qui sépare la zone sauvage du lit de la Durance, accéder à l'eau est difficile et dangereux pour les espèces animales » explique Alexandre Cluchier, directeur international d’ECO-MED.
« La disparition d’une espèce entraîne la fragilisation d’un milieu entier » conclut Julien Viglione.