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Le dirham se dirige petit à petit vers une libéralisation de son taux de change (photo : Bank al-Maghrib)
MAROC. Au lundi 9 mars 2020, la bande de fluctuation du dirham marocain passe de plus ou moins 2,5% à plus ou moins 5% par rapport à un cours central fixé par la banque centrale du pays Bank Al-Maghrib.
Il s'agit de la seconde étape du processus, annoncé en avril 2017 et initié en janvier 2018, visant à assurer la convertibilité de la monnaie marocaine. Le cours central est défini sur la base d'un panier de devises (60% euro et 40% dollar américain).
"La deuxième phase est entamée dans un contexte macro-économique et financier interne favorable, marqué notamment par un niveau approprié des réserves de change, une inflation maîtrisée, une dette publique soutenable et un secteur financier solide", indique le Ministère marocain de l'Economie, des Finances et de la Réforme de l'Administration, dans un communiqué. Selon cette institution, "la réforme du régime de change, qui est un processus volontaire, progressif et ordonné s’étalant sur plusieurs étapes, permettra de renforcer la capacité de l’économie marocaine à absorber les chocs externes, soutenir sa compétitivité et contribuer ainsi à améliorer sa croissance".
"Bank Al-Maghrib continue, conformément à son statut, de veiller au bon fonctionnement du marché des changes et interviendra, si nécessaire, sur ce marché pour assurer sa liquidité", précise le ministère marocain de l'Economie.
Il s'agit de la seconde étape du processus, annoncé en avril 2017 et initié en janvier 2018, visant à assurer la convertibilité de la monnaie marocaine. Le cours central est défini sur la base d'un panier de devises (60% euro et 40% dollar américain).
"La deuxième phase est entamée dans un contexte macro-économique et financier interne favorable, marqué notamment par un niveau approprié des réserves de change, une inflation maîtrisée, une dette publique soutenable et un secteur financier solide", indique le Ministère marocain de l'Economie, des Finances et de la Réforme de l'Administration, dans un communiqué. Selon cette institution, "la réforme du régime de change, qui est un processus volontaire, progressif et ordonné s’étalant sur plusieurs étapes, permettra de renforcer la capacité de l’économie marocaine à absorber les chocs externes, soutenir sa compétitivité et contribuer ainsi à améliorer sa croissance".
"Bank Al-Maghrib continue, conformément à son statut, de veiller au bon fonctionnement du marché des changes et interviendra, si nécessaire, sur ce marché pour assurer sa liquidité", précise le ministère marocain de l'Economie.