
Ahmet Davutoglu, premier ministre turc, se félicite des relations avec le Portugal (photo : gouvernement turc)
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PORTUGAL / TURQUIE. Le premier sommet intergouvernemental entre la Turquie et le Portugal se déroulait, mardi 3 mars 2015, à Lisbonne. « Le Portugal parait être le pays qui comprend le mieux la Turquie en Europe » s’est félicité le premier ministre Ahmet Davutoglu à l’issue de sa rencontre avec son homologue, Pedro Passos Coelho.
La décision stratégique de la Turquie est d’appartenir à l’Union européenne soulignait le chef du gouvernement turc, remerciant le Portugal de se tenir à ses côtés dans ce dossier et se félicitant des excellentes relations bilatérales entre les deux pays.
Ahmet Davutoglu et les six ministres l'accompagnant ont évoqué d’importants dossiers comme une réunion programmée entre chefs d’entreprises des deux pays en octobre 2015, l’ouverture et le renfort des liaisons aériennes de et vers Lisbonne mais aussi Porto.
Lisbonne bénéficie actuellement d’un des plus importants investissement turc : la construction du nouveau terminal de croisières de la capitale portugaise adjugée à un consortium majoritairement turc pour 22,7 M€.
Agroalimentaire, construction, transports, énergies renouvelables, défense, santé et tourisme constituent les secteurs prioritaires des relations entre le Portugal et la Turquie.
Le premier sommet à Lisbonne entre les deux gouvernements a été l’occasion pour la Turquie de rappeler son développement en Afrique, avec trente-deux ambassades et son poste d’observateur au sein de la CPLP, la Communauté des Pays de Langue Portugaise.
Sur les questions internationales et le conflit à la frontière avec l’Irak, prudent, le premier ministre turc s’est contenté de rappeler la nécessité de « la paix et la stabilité » à la veille d’une offensive contre l’EI, l’état islamique, à Mossoul.
Enfin, la rencontre de Lisbonne a permis la signature d’un accord sur la protection mutuelle des informations sensibles en matière de sécurité, et a renforcé la volonté d’affirmer la coopération maritime et militaire, y compris au sein de l’OTAN.
La décision stratégique de la Turquie est d’appartenir à l’Union européenne soulignait le chef du gouvernement turc, remerciant le Portugal de se tenir à ses côtés dans ce dossier et se félicitant des excellentes relations bilatérales entre les deux pays.
Ahmet Davutoglu et les six ministres l'accompagnant ont évoqué d’importants dossiers comme une réunion programmée entre chefs d’entreprises des deux pays en octobre 2015, l’ouverture et le renfort des liaisons aériennes de et vers Lisbonne mais aussi Porto.
Lisbonne bénéficie actuellement d’un des plus importants investissement turc : la construction du nouveau terminal de croisières de la capitale portugaise adjugée à un consortium majoritairement turc pour 22,7 M€.
Agroalimentaire, construction, transports, énergies renouvelables, défense, santé et tourisme constituent les secteurs prioritaires des relations entre le Portugal et la Turquie.
Le premier sommet à Lisbonne entre les deux gouvernements a été l’occasion pour la Turquie de rappeler son développement en Afrique, avec trente-deux ambassades et son poste d’observateur au sein de la CPLP, la Communauté des Pays de Langue Portugaise.
Sur les questions internationales et le conflit à la frontière avec l’Irak, prudent, le premier ministre turc s’est contenté de rappeler la nécessité de « la paix et la stabilité » à la veille d’une offensive contre l’EI, l’état islamique, à Mossoul.
Enfin, la rencontre de Lisbonne a permis la signature d’un accord sur la protection mutuelle des informations sensibles en matière de sécurité, et a renforcé la volonté d’affirmer la coopération maritime et militaire, y compris au sein de l’OTAN.