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La privatisation des terminaux portuaires d'Iskenderun avait été annulée en 2006 (photo TCDD)
TURQUIE. La Turquie va relancer la privatisation des terminaux du port d’Iskenderun, situé sur la côte méditerranéenne, tout proche de la frontière syrienne. Selon l’Autorité turque des privatisations l’appel d’offre sera lancé dans le courant du mois de mai, pour une durée de concession de 36 ans. Les offres devront être déposées au plus tard le 4 août 2010.
Géré par la Direction générale des chemins de fer turcs, Tûrkiye Cumhuriyeti Devlet Demiryollari (TCDD), le port d’Iskenderun est connecté à la voie ferrée et au réseau autoroutier. Il avait fait l’objet d’une première tentative de privatisation en 2005 mais la procédure avait été annulée par le Conseil d’Etat un an plus tard.
Géré par la Direction générale des chemins de fer turcs, Tûrkiye Cumhuriyeti Devlet Demiryollari (TCDD), le port d’Iskenderun est connecté à la voie ferrée et au réseau autoroutier. Il avait fait l’objet d’une première tentative de privatisation en 2005 mais la procédure avait été annulée par le Conseil d’Etat un an plus tard.
La privatisation d'Izmir en panne
Après une première vague de privatisation des terminaux portuaires dans les années 90, le gouvernement d’Ankara a relancé la procédure depuis 2005. Mais à ce jour, seul le port de Mersin a été transféré au privé – un groupement réunissant PSA (Singapore) et son partenaire local Akfen Holding - pour 36 ans et pour un montant de 755 M$ (613 M€).
En revanche la privatisation du port d’Izmir, un des tous premiers ports du pays, est en panne. Des problèmes administratifs puis la crise du transport maritime ont conduit au retrait du consortium qui avait initialement remporté l’appel d’offre (Global-Hutchison-Limas). Deuxième sur la liste, Celebi Holding vient à son tour de renoncer au projet. La gestion d’Izmir reste donc dans le giron de TCDD.
En revanche la privatisation du port d’Izmir, un des tous premiers ports du pays, est en panne. Des problèmes administratifs puis la crise du transport maritime ont conduit au retrait du consortium qui avait initialement remporté l’appel d’offre (Global-Hutchison-Limas). Deuxième sur la liste, Celebi Holding vient à son tour de renoncer au projet. La gestion d’Izmir reste donc dans le giron de TCDD.