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Le détroit d'Ormuz pourrait être fermé par l'Iran (photo DR)
TURQUIE. La Turquie pourrait bénéficier de l'éventuelle fermeture du détroit d'Ormuz par l'Iran où transitent 80% des ventes de brut de pétrole à l'étranger de l'Irak.
L’Iran a déjà averti ses voisins de cette éventuelle fermeture. Un détroit primordial où passe plus de 35% du pétrole transporté par voie maritime à travers le monde. Des menaces prises suite aux sanctions occidentales sur son secteur pétrolier.
En prévision, l'Irak a annoncé, dimanche 18 mars 2012, plusieurs mesures visant à diversifier ses voies d'exportation de pétrole. Ces mesures, établies par les commissions gouvernementales en charge de l'énergie et de l'économie, reposent sur l'augmentation de la capacité des gisements du nord du pays et la construction d'un oléoduc entre les champs pétroliers du sud et le port de Ceyhan, en Turquie.
De plus, la réouverture de l'oléoduc, fermé depuis 1990, vers la Syrie et le Liban (Baniyas-Tripoli) est envisagée.
L’Iran a déjà averti ses voisins de cette éventuelle fermeture. Un détroit primordial où passe plus de 35% du pétrole transporté par voie maritime à travers le monde. Des menaces prises suite aux sanctions occidentales sur son secteur pétrolier.
En prévision, l'Irak a annoncé, dimanche 18 mars 2012, plusieurs mesures visant à diversifier ses voies d'exportation de pétrole. Ces mesures, établies par les commissions gouvernementales en charge de l'énergie et de l'économie, reposent sur l'augmentation de la capacité des gisements du nord du pays et la construction d'un oléoduc entre les champs pétroliers du sud et le port de Ceyhan, en Turquie.
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