Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
La Cnuced s'alarme de l'augmentation du chômage et de la pauvreté en Palestine
-
Le Premier ministre grec se dit prêt à "accueillir" l'armée turque
TURQUIE / ISRAËL. Fin officielle de la brouille entre Ankara et Israël avec la ratification par le Parlement turc de l'accord de normalisation des relations diplomatiques avec Israël.
Les deux pays se trouvaient en froid depuis six ans et l'attaque par Tsahal d'un navire humanitaire turc (le Mavi Marmara) qui tentait de briser le blocus de Gaza. Dix Turcs avaient péri.
Le texte signé le 26 juin 2016 devait encore être soumis aux députés turcs pour validation. Il prévoit le versement par Israël d'une indemnité de 18 M€ au fonds d'indemnisation des familles des victimes et l'abandon des poursuites judiciaires par Ankara des officiers israéliens ayant conduit le raid.
Il ouvre surtout le champ à la reprise des relations économiques entre les deux pays phare de la région.
Israël devrait notamment vendre son gaz exploité sur son gisement de Tamar (et demain sur celui de Leviathan) à la Turquie qui en manque. La Turquie acheminera de l'aide humanitaire aux habitants de la bande de Gaza, dont les dirigeants du Hamas sont alliés avec le régime islamo-conservateur de Recep Tayyip Erdogan.
Un échange d'ambassadeur est également prévu.
Lire aussi : La Turquie et Israël enterrent la hache de guerre
Les deux pays se trouvaient en froid depuis six ans et l'attaque par Tsahal d'un navire humanitaire turc (le Mavi Marmara) qui tentait de briser le blocus de Gaza. Dix Turcs avaient péri.
Le texte signé le 26 juin 2016 devait encore être soumis aux députés turcs pour validation. Il prévoit le versement par Israël d'une indemnité de 18 M€ au fonds d'indemnisation des familles des victimes et l'abandon des poursuites judiciaires par Ankara des officiers israéliens ayant conduit le raid.
Il ouvre surtout le champ à la reprise des relations économiques entre les deux pays phare de la région.
Israël devrait notamment vendre son gaz exploité sur son gisement de Tamar (et demain sur celui de Leviathan) à la Turquie qui en manque. La Turquie acheminera de l'aide humanitaire aux habitants de la bande de Gaza, dont les dirigeants du Hamas sont alliés avec le régime islamo-conservateur de Recep Tayyip Erdogan.
Un échange d'ambassadeur est également prévu.
Lire aussi : La Turquie et Israël enterrent la hache de guerre