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TURQUIE / LIBYE. Conformément à ses déclarations du 26 décembre 2019 et après l'autorisation obtenue de la Grande assemblée nationale turque, jeudi 2 janvier 2020, Recep Tayyip Erdogan a commencé le déploiement de ses troupes en Libye.
"Face aux variations et complexités causées par la concurrence que se livrent les forces régionales et internationales dans cette partie du monde, nous ne pouvons pas rester les bras croisés", a indiqué, lundi 6 janvier 2020, le président turc lors de l'inauguration du nouveau quartier général du renseignement turc (MIT). "Le résultat de la lutte pour le pouvoir et des alliances scellées contre notre pays en Méditerranée orientale est d'une importance vitale pour notre avenir proche", poursuivait-il tout en lançant, "le MIT accomplit avec succès les missions qui lui incombent en Libye."
La veille de ce discours, Recep Tayyip Erdogan annonçait à CNN Turk que "les militaires turcs partent progressivement pour la Libye. Ils s'y occuperont de la coordination. Notre but : soutenir le gouvernement légitime." Il répond ainsi aux souhaits d'une aide turque publiquement exprimés par Fayez al-Sarraj, chef du gouvernement d'union nationale (GNA), confronté à l'avance sur la capitale Tripoli de l'armée nationale libyenne de son rival le maréchal Khalifa Haftar.
Le soutien sera "aérien, terrestre et maritime" précise le GNA.
Lundi 6 janvier 2020, Mevlut Cavusoglu, ministre turc des Affaires étrangères, a indiqué sur le sujet libyen qu'"il ne peut y avoir de vainqueur dans cette guerre. Si elle n'est pas stoppée, elle est susceptible de durer et de tuer de nombreuses personnes si elle se poursuit à l'intérieur de la capitale Tripoli."
"Face aux variations et complexités causées par la concurrence que se livrent les forces régionales et internationales dans cette partie du monde, nous ne pouvons pas rester les bras croisés", a indiqué, lundi 6 janvier 2020, le président turc lors de l'inauguration du nouveau quartier général du renseignement turc (MIT). "Le résultat de la lutte pour le pouvoir et des alliances scellées contre notre pays en Méditerranée orientale est d'une importance vitale pour notre avenir proche", poursuivait-il tout en lançant, "le MIT accomplit avec succès les missions qui lui incombent en Libye."
La veille de ce discours, Recep Tayyip Erdogan annonçait à CNN Turk que "les militaires turcs partent progressivement pour la Libye. Ils s'y occuperont de la coordination. Notre but : soutenir le gouvernement légitime." Il répond ainsi aux souhaits d'une aide turque publiquement exprimés par Fayez al-Sarraj, chef du gouvernement d'union nationale (GNA), confronté à l'avance sur la capitale Tripoli de l'armée nationale libyenne de son rival le maréchal Khalifa Haftar.
Le soutien sera "aérien, terrestre et maritime" précise le GNA.
Lundi 6 janvier 2020, Mevlut Cavusoglu, ministre turc des Affaires étrangères, a indiqué sur le sujet libyen qu'"il ne peut y avoir de vainqueur dans cette guerre. Si elle n'est pas stoppée, elle est susceptible de durer et de tuer de nombreuses personnes si elle se poursuit à l'intérieur de la capitale Tripoli."