
Logo de la Banque islamique de développement (BID)
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TUNISIE. La Tunisie et la Banque islamique de développement (BID ) conviennent de deux accords de financement d’un montant de 50 et 75 millions de dinars tunisiens (25 et 37,5 M€).
La BID, créée en 1975, tente de renforcer le développement économique et social de ses cinquante-six pays membres à travers la réalisation de plusieurs projets de développement dans les domaines de la science et de la technologie, de l'économie islamique, de la banque et de la finance.
Ahmed Mohamed, président du groupe de la BID en visite en Tunisie, mettait en exergue la "l'efficience et la résilience" de la finance islamique face aux crises financières mondiales.
Le premier accord de 50 millions de dinars permettra la mise en place d’un projet de développement agricole dans les gouvernorats du Kef et de Kasserine visant à améliorer et renforcer la production agricole, permettre aux agriculteurs d’accéder au marché du travail et améliorer les infrastructures.
Le second terrain d'entente de 75 millions de dinars porte sur le financement d'un programme de microcrédit.
Riadh Bettaieb, ministre de l’Investissement et de la Coopération Internationale insistait sur l’importance de ces accords dans la relance économique et la création de postes d’emploi, "une étape importante et primordiale dans les orientations tracées par le gouvernement tunisien en vue de relancer davantage l’économie nationale".
Hamadi Jebali, chef du gouvernement, déclarait également "que le pays entend se transformer en un centre régional de la finance islamique".
La BID, créée en 1975, tente de renforcer le développement économique et social de ses cinquante-six pays membres à travers la réalisation de plusieurs projets de développement dans les domaines de la science et de la technologie, de l'économie islamique, de la banque et de la finance.
Ahmed Mohamed, président du groupe de la BID en visite en Tunisie, mettait en exergue la "l'efficience et la résilience" de la finance islamique face aux crises financières mondiales.
Le premier accord de 50 millions de dinars permettra la mise en place d’un projet de développement agricole dans les gouvernorats du Kef et de Kasserine visant à améliorer et renforcer la production agricole, permettre aux agriculteurs d’accéder au marché du travail et améliorer les infrastructures.
Le second terrain d'entente de 75 millions de dinars porte sur le financement d'un programme de microcrédit.
Riadh Bettaieb, ministre de l’Investissement et de la Coopération Internationale insistait sur l’importance de ces accords dans la relance économique et la création de postes d’emploi, "une étape importante et primordiale dans les orientations tracées par le gouvernement tunisien en vue de relancer davantage l’économie nationale".
Hamadi Jebali, chef du gouvernement, déclarait également "que le pays entend se transformer en un centre régional de la finance islamique".