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TUNISIE. La conférence Tunisia 2020 s'est achevée, mercredi 30 novembre 2016, sur un satisfecit général au sein du gouvernement tunisien. "Tunisia is back" a même lancé Youssef Chahed, premier ministre tunisien. La mobilisation internationale autour de l'économie tunisienne a bien eu lieu. Les promesses d'investissements et de dons ont afflué et atteignent désormais 34 milliards de dinars (14 mrds€). Une somme astronomique qui représente quasiment... le budget 2017 de l'Etat tunisien (32,4 milliards de dinars).
Pour être plus précis, il s'agit pour l'instant de seulement 15 milliards de dinars d'accords signés. Les 19 milliards de dinars restants ne sont, pour l'instant, que de promesses.
Le Qatar consacrera 1,25 mrd$ à l'économie tunisienne, le Koweit 500 M$ et l'Arabie saoudite 100 M$. La Banque européenne d'investissement (BEI) réserve au pays une enveloppe de 2,5 mrds€ sur quatre ans, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) 650 M€ sur cinq ans et la Commission européenne envisage 800 M€ par an d'ici 2020.
L'Agence française de développement accorde 250 M€ par an et l'Etat français annonce 1 mrd€ de dons sur cinq ans. Sans parler des 1,5 mrd$ du Fonds arabe de développement économique et social (Fades), des 260 millions de dinars de la KfW (Allemagne), des 1,8 milliard de dinars de la Banque africaine de développement (BAD) qui confirme l'installation de son siège régional Afrique du Nord à Tunis, des 4,4 milliards de dinars de la Banque islamique de développement (BID) et des 2,2 milliards de dinars de la Banque mondiale...
Pour attirer le chaland, en l'occurrence les bailleurs de fonds internationaux, la Tunisie déployait en tête de gondole une cinquantaine de projets publics, privés et en Partenariat public-privé. D'un montant de 120 milliards de dinars (48,9 mrds€) sur cinq ans, ils couvrent les domaines des infrastructures, de l'économie numérique, du tourisme, de l'éducation, de la santé, des industries mécaniques, électriques et textiles, de la santé. "Nous espérons l'augmentation du volume des investissements étrangers de 80% dans le cadre du plan de développement 2016-2020 par rapport au quinquennat 2011-2015" soulignait Béji Caïd Essebsi, président de la République tunisienne, en ouverture de la conférence.
Le nouveau code des investissements, applicable dès janvier 2017, va favoriser la mise en place de ce plan de développement qui devrait créer 400 000 emplois jusqu'en 2020.
Pour être plus précis, il s'agit pour l'instant de seulement 15 milliards de dinars d'accords signés. Les 19 milliards de dinars restants ne sont, pour l'instant, que de promesses.
Le Qatar consacrera 1,25 mrd$ à l'économie tunisienne, le Koweit 500 M$ et l'Arabie saoudite 100 M$. La Banque européenne d'investissement (BEI) réserve au pays une enveloppe de 2,5 mrds€ sur quatre ans, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) 650 M€ sur cinq ans et la Commission européenne envisage 800 M€ par an d'ici 2020.
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Le nouveau code des investissements, applicable dès janvier 2017, va favoriser la mise en place de ce plan de développement qui devrait créer 400 000 emplois jusqu'en 2020.