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GRECE. La Troïka, qui regroupe les créanciers de la Grèce (Fonds monétaire international, Union européenne et Banque centrale européenne) exige la mise à pied de 30 000 fonctionnaires d’ici la fin de l’année 2011.
Les chiffres avancés par Athènes parlent eux, de 8 000 fonctionnaires « réservistes - effedria en grec » : mot trouvé pour contourner l’interdiction constitutionnelle de licencier des fonctionnaires.
Sauf qu’à y regarder de plus près, la mesure n’a concerné que 8 700 fonctionnaires dont 7 000 étaient des départs à la retraite.
C’est que les ministères et organismes publics sommés de fournir une liste de fonctionnaires susceptibles d’être réservistes ont trainé, arguant du fait « qu’il n’y a pas de personnel superflu » comme l’indiquait la circulaire.
Les tribunaux et les universités ont rendu des listes pratiquement vides ! Plusieurs ministères ont même demandé à être exemptés de l’effedria.
Ainsi, les diplomates, les militaires, les pompiers,la police, les professeurs, les instituteurs, et le personnel médical sont passés au travers. Soit 50% de la fonction publique.
Du coup, le FMI parle désormais de licenciements massifs de 150 000 fonctionnaires d’ici 2015, avec un sérieux dégraissage des l’année 2012.
Les chiffres avancés par Athènes parlent eux, de 8 000 fonctionnaires « réservistes - effedria en grec » : mot trouvé pour contourner l’interdiction constitutionnelle de licencier des fonctionnaires.
Sauf qu’à y regarder de plus près, la mesure n’a concerné que 8 700 fonctionnaires dont 7 000 étaient des départs à la retraite.
C’est que les ministères et organismes publics sommés de fournir une liste de fonctionnaires susceptibles d’être réservistes ont trainé, arguant du fait « qu’il n’y a pas de personnel superflu » comme l’indiquait la circulaire.
Les tribunaux et les universités ont rendu des listes pratiquement vides ! Plusieurs ministères ont même demandé à être exemptés de l’effedria.
Ainsi, les diplomates, les militaires, les pompiers,la police, les professeurs, les instituteurs, et le personnel médical sont passés au travers. Soit 50% de la fonction publique.
Du coup, le FMI parle désormais de licenciements massifs de 150 000 fonctionnaires d’ici 2015, avec un sérieux dégraissage des l’année 2012.