
Quelques heures avant le cessez-le-feu des bombardements ont tué 31 personnes (photo Observatoire syrien des droits de l'homme)
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SYRIE. Depuis lundi 12 septembre 2016 à 18 heures, une trêve entre les rebelles syriens et l'armée de Bachar Al-Assad est entrée en vigueur en Syrie.
Défini après un accord entre la Russie et les États-Unis, ce cessez-le-feu ne concerne, bien évidemment, pas les troupes islamistes de Daech et de Front Fateh al-Cham (branche syrienne d'Al-Qaida connue auparavant sous le nom de Front Al-Nosra).
Après cinq ans de guerre et 290 000 morts, les armes russes et américaines devraient se taire pendant 48 heures renouvelables. Le régime de Bachar Al-Assad a annoncé le gel de ses opérations militaires en Syrie durant une semaine. Les opposants restent plus flous dans leurs intentions et demandent encore des garanties sur l'application de cette trêve sans la rejeter.
Un accès humanitaire aux zones assiégés va pouvoir se dérouler sitôt le calme établi, notamment à Alep.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, quelques heures avant le début de la trêve, plusieurs bombardements se sont déroulés notamment dans les régions de Taiba al-Imam, Kawkab, Hama, Goutha et Duma causant trente et un morts.
Défini après un accord entre la Russie et les États-Unis, ce cessez-le-feu ne concerne, bien évidemment, pas les troupes islamistes de Daech et de Front Fateh al-Cham (branche syrienne d'Al-Qaida connue auparavant sous le nom de Front Al-Nosra).
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Un accès humanitaire aux zones assiégés va pouvoir se dérouler sitôt le calme établi, notamment à Alep.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, quelques heures avant le début de la trêve, plusieurs bombardements se sont déroulés notamment dans les régions de Taiba al-Imam, Kawkab, Hama, Goutha et Duma causant trente et un morts.