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FRANCE. Mardi 16 septembre 2014 une réunion en Préfecture des Bouches-du-Rhône a permis de faire le point sur la situation de la SNCM. Autour de la table, les représentants des actionnaires, les syndicats et le médiateur Gilles Bélier. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du protocole de sortie de crise obtenu fin juin 2014 avec l’ensemble des syndicats (hors STC). Cet accord mettait un terme à dix-sept jours de grève à la veille des départs en vacances.
Cette première réunion devrait permettre d’examiner les différentes pistes pour parvenir à un projet industriel pérenne pour la compagnie qui doit faire face à des vents contraires de son principal actionnaire Véolia Transdev (66%).
Sous le coup d’une double amende de Bruxelles pour plus de 400 M€, l’avenir de la compagnie est menacé depuis plusieurs mois déjà. Parmi les pistes qui devraient être examinées, le projet de restructuration mené en interne par Olivier Diehl, président du directoire de la SNCM depuis juin 2014.
En externe, Christian Garin, ex-président d’armateurs de France, a également bâti un plan de reprise de l’armement tout comme Daniel Berrebi qui prévoit une voilure réduite à six navires et moins de 1 000 salariés sur les 2 500 actuels. Quant aux salariés affiliés au STC, ils revendiquent une compagnie régionale corse avec des résidents corses. Reste à savoir si la compagnie sera en mesure d’éviter le dépôt de bilan.
Cette première réunion devrait permettre d’examiner les différentes pistes pour parvenir à un projet industriel pérenne pour la compagnie qui doit faire face à des vents contraires de son principal actionnaire Véolia Transdev (66%).
Sous le coup d’une double amende de Bruxelles pour plus de 400 M€, l’avenir de la compagnie est menacé depuis plusieurs mois déjà. Parmi les pistes qui devraient être examinées, le projet de restructuration mené en interne par Olivier Diehl, président du directoire de la SNCM depuis juin 2014.
En externe, Christian Garin, ex-président d’armateurs de France, a également bâti un plan de reprise de l’armement tout comme Daniel Berrebi qui prévoit une voilure réduite à six navires et moins de 1 000 salariés sur les 2 500 actuels. Quant aux salariés affiliés au STC, ils revendiquent une compagnie régionale corse avec des résidents corses. Reste à savoir si la compagnie sera en mesure d’éviter le dépôt de bilan.