Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
Le Premier ministre grec se dit prêt à "accueillir" l'armée turque
-
La Turquie menace la Grèce de s'emparer militairement des îles de la mer Égée
-
Augmentation massive des prix du gaz et de l'électricité en Turquie
SYRIE. Alors que les combats font rage entre le pouvoir syrien, appuyé par les forces russes, et les opposants à Bachar al-Assad, de chaque côté de la ville, l'Armée russe annonce, mercredi 2 novembre 2016, une nouvelle "pause humanitaire" à Alep par un communiqué de son général en chef Valery Gerasimov.
Sur ordre de Vladimir Poutine, elle se déroulera vendredi 4 novembre 2016 de 9h à 19h, heures locales (6h à 16h en GMT), en accord avec les autorités syriennes. Cet arrêt des combats, censé permettre l'évacuation des blessés et des civils, intervient après celle de trois jours mise en place fin octobre 2016, qui s'est révélée un échec dans cet objectif.
Les huit couloirs humanitaires définis lors de cette première trêve seront reconduits, dont deux réservés à l'évacuation des hommes armés vers Idlib ou la frontière turque. "Prenant en compte l'incapacité de nos collègues américains de séparer l'opposition des terroristes, nous demandons à tous les chefs de groupes armés d'arrêter les combats et de sortir d'Alep avec leurs armes" précise le texte publié par l'armée russe.
La bataille d'Alep, seconde ville syrienne et ancienne capitale économique, se déroule depuis le 22 septembre 2016. Elle vise à chasser les opposants au régime, des quartiers Est de la cité. L'armée syrienne est appuyée par des bombardements de l'aviation russe. Les quartiers ouest sont à leur tour, depuis quelques jours, pilonnés par les mortiers des anti Bachar al-Assad. Mercredi 2 novembre 2016, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) dénonçait la mort de quarante-trois personnes la veille dont six civils. Depuis 48 heures, la même organisation a recensé quarante-huit décès de civils à Alep.
Sur ordre de Vladimir Poutine, elle se déroulera vendredi 4 novembre 2016 de 9h à 19h, heures locales (6h à 16h en GMT), en accord avec les autorités syriennes. Cet arrêt des combats, censé permettre l'évacuation des blessés et des civils, intervient après celle de trois jours mise en place fin octobre 2016, qui s'est révélée un échec dans cet objectif.
Les huit couloirs humanitaires définis lors de cette première trêve seront reconduits, dont deux réservés à l'évacuation des hommes armés vers Idlib ou la frontière turque. "Prenant en compte l'incapacité de nos collègues américains de séparer l'opposition des terroristes, nous demandons à tous les chefs de groupes armés d'arrêter les combats et de sortir d'Alep avec leurs armes" précise le texte publié par l'armée russe.
La bataille d'Alep, seconde ville syrienne et ancienne capitale économique, se déroule depuis le 22 septembre 2016. Elle vise à chasser les opposants au régime, des quartiers Est de la cité. L'armée syrienne est appuyée par des bombardements de l'aviation russe. Les quartiers ouest sont à leur tour, depuis quelques jours, pilonnés par les mortiers des anti Bachar al-Assad. Mercredi 2 novembre 2016, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) dénonçait la mort de quarante-trois personnes la veille dont six civils. Depuis 48 heures, la même organisation a recensé quarante-huit décès de civils à Alep.