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C'est ce qui ressort d'une étude sur l'impact des touristes aériens réalisée au sein de l'Aéroport Marseille Provence et ciblée sur les courts-séjours, aussi appelés "city break" par les professionnels du tourisme.
A noter que les Européens du nord dépensent plus (81€) que ceux du sud (66€) et que les Français (51€).
Conduite par le cabinet d'études 3S Marketing d'avril à septembre 2009, cette enquête (réalisée à l'aéroport phocéen auprès de 2676 personnes rentrant chez eux) avait pour objectif de récolter des données fiables pour mieux connaître les motivations et les attentes des touristes, connaître leurs dépenses et les retombées réelles mais aussi analyser les forces et les faiblesses touristiques.
Avec en filigrane la volonté de développer l'attractivité touristique du territoire Marseille Provence.
L'enquête, qui exclut la clientèle d'affaires, révèle que 63% des visiteurs viennent dans la région marseillaise pour un motif essentiellement touristique. Les 37% restants se rendant dans leur famille ou chez des amis.
79% des personnes interrogées avouent être très satisfaites de leur séjour et 20% satisfaites.
Des axes prioritaires pour améliorer l'accueil des touristes

Une précédente étude publiée en 2008 sur des chiffres 2007, évaluait à plus de 520 M€ (sur une base de 6,9 millions de passagers) les retombées économiques indirectes (dépenses de consommation) engagées par les touristes aériens touchant le tarmac phocéen.
Depuis la fréquentation de l'aéroport Marseille Provence a évolué. En 2009 il réalise la seconde plus forte croissance du trafic passagers des 100 plus grands aéroports européen et a gagné 500 000 passagers en deux ans. Autant de touristes en plus pour la région.